Concours

Mardi 13 décembre 2 13 /12 /Déc 23:18

... Même si elle était excitée et heureuse d'avoir son maître une nuit entière à ses côtés, la branche qu'il tenait fermement dans sa main lui faisait peur.

Elle n'avait jamais goûté à cet objet de punition et craignait la douleur qu'il pouvait générer.

Avant de monter les marches qui conduisaient aux chambres, le maître avait relevé jupe et jupons qu'il avait accrochés à la taille avec une barrette.

Elle le devançait, comme il le lui avait demandé. Chaque marche faisait onduler son cul de droite à gauche ; il prenait un malin plaisir à lui tapoter gentiment les fesses avec la petite branche. Elle avait pour ordre de monter les marches le plus lentement possible. A chaque caresse de la branche, elle poussait de petits gémissements, de peur bien évidemment. Avant de parvenir à l'étage, il lui demanda de se pencher en avant et à l'aide de la baguette contrôla l'entrée du cul de la belle. De petites perles de sperme commençaient à poindre.

Il ouvrit la bouche : "Suffit Madame. Il ne me plaît pas de vous entendre gémir. C'est ma catin que je veux dans mon lit ce soir et pas une fillette pleurnicharde". "De quoi avez-vous peur ?"

Elle lui rétorqua qu'il ne s'était jamais servi d'une baguette pour lui chauffer les fesses et qu'elle avait peur d'avoir trop mal.

"Que m'importe vos craintes ! Ne m'avez-vous pas désobéi tantôt ? Je vous punirai donc comme il me plaira".

Les voici dans la chambre. Elle demande la permission d'aller se rafraîchir. Il la lui refuse.

"Vous vous laverez quand bon me semblera". "Je sais que vous n'êtes pas à l'aise et j'en suis fort heureux".

"Au tapis jupe, jupons, corsage ! Je veux un corps nu pour le ravigoter."

Elle s'exécuta aussitôt, et tremblante, se mit à nouveau à quatre pattes, en lui offrant sa croupe.

Le seigneur posa une main sur un hémisphère, le caressant avec sensualité. Il n'était plus en colère et la rassura de sa voix qu'elle aimait tant.
Il ne se servirait pas de la baguette. Il alla chercher un fouet qu'il gardait dans une malle.

Il s'approcha d'elle et commença à jouer de cet instrument.

Quelques petits cris, gémissements de douleur qui se transformèrent bien vite en râle de plaisir.

"Voyez donc cette donzelle qui va jouir sous mes coups ! Je ne tape pas assez fort, Madame ? Criez, suppliez, vous n'avez pas encore le droit de jouir".

Les coups pleuvaient de plus en plus forts. Elle avait mal. Il sut que cela suffisait.

A nouveau il usa de sa main douce et rafraîchissante pour calmer le feu qu'il avait allumé par ses coups.

La main allait et venait, puis vint se poser à l'entrée défendue. Un doigt s'insinua, suivi bien vite par un autre, puis toute la main s'enfonça dans ses entrailles. Elle n'avait pas mal. Sans doute le sperme faisait office de lubrifiant. Mais surtout la douceur avec laquelle il jouait, sa voix qui murmurait des paroles apaisantes la mettaient en confiance et attisaient à nouveau son désir.

Il ressortit la main gluante qu'il passa sur les fesses chaudes afin d'en atténuer la chaleur.

"Allons maintenant visiter l'autre côté !".

Elle se leva et se coucha sur le lit, les jambes et cuisses bien écartées.

Il fut moins tendre cette fois en la pénétrant avec l'autre main. Elle se crispa sous ce viol infligé, mais dès que la main commença à danser dans son ventre, elle suivit le rythme qui devenait de plus en plus rapide.

Lorsqu'il serra sa main pour en faire un poing, elle hurla de plaisir.

Il lui offrit alors ses deux mains à lécher.

"A ton tour, ma chienne, fais-moi voir tes talents, donne-moi du plaisir !"

Elle ouvrit la bouche et avala goulûment la queue de son maître. Le sexe gardait encore les traces de sa visite anale ainsi que quelques gouttes de sperme non recueillies.

Elle s'en délecta. Le maître lui demanda d'accélérer la cadence. Il juta dans sa gorge un liquide épais et crémeux qu'elle avala d'un trait.

"Viens dans mes bras, ma chienne, parlons un peu, nous reprendrons nos ébats plus tard".

Allongés côte à côte, elle était lovée dans les bras de son seigneur. Elle était bien.

Ils parlèrent chacun à leur tour, lui des batailles auxquelles il avait participé, elle, de sa vie sans lui.

Il lui dit qu'il n'avait jamais cessé de penser à elle et d'ailleurs il lui avait ramené un présent.

Elle se leva pour aller chercher ce fameux présent, la joie au coeur et aux yeux.

Elle revint avec un paquet et lorsqu'elle l'ouvrit, quelle déception ! Il s'agissait d'une ceinture de chasteté.

"Pourquoi cette cruauté mon seigneur ? Ne savez-vous pas que je vous appartiens corps et âme et que personne d'autre que vous n'a le droit de me toucher ?"

Il se mit à rire et lui fit signe de s'allonger à nouveau près de lui.

"Je sais bien ma mie que tu m'es fidèle et que ton coeur ne palpite que pour moi. Mais la chair est faible et il y a autour de toi trop d'hommes qui s'agitent".

"Mais comment vais-je faire pour ma toilette intime" lui demanda-t-elle ?

"J'ai ramené avec moi un serviteur eunuque. C'est lui qui sera le gardien de la clé de tes trésors intimes. Il viendra à ta demande te libérer, mais ne te quittera pas jusqu'à ce qu'il ait fermé à nouveau la porte".

"Je suis triste seigneur à la pensée que vous doutez de moi", lui dit-elle.

"Non, ne sois pas triste. C'est une preuve d'amour que je t'offre. Aucun autre homme que moi ne visitera tes temples. Je t'enchaîne à moi ainsi pour toujours".

Consolée, elle se serra davantage contre son maître. Ses yeux commençaient à se fermer.

Par Doggy - Publié dans : Récits
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Retour à l'accueil

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus