Concours

Récits

Jeudi 19 janvier 4 19 /01 /Jan 23:45
Le lendemain matin je fus réveillée par le parfum de chocolat chaud et pain grillé. Des petits rires qui s'approchaient de mon oreille me tirèrent de mon sommeil. Autour de mon lit se tenaient deux jeunes filles qui me firent don d'un gracieux sourire.

Je leur demandai la raison de leur joie. Une d'entre elles devait être marquée des initiales de son maître et recevoir l'anneau de soumission. Quant à la deuxième elle était excitée par le cours que nous allions
recevoir le matin. Je n'avais aucune idée de cet enseignement dont mon maître ne m'avait pas parlé.

Je me levai et suivis les jeunes filles qui me conduisirent dans la salle d'eau. On me fit à nouveau la toilette et mes deux compagnes chuchotaient et riaient en me voyant gênée. Puis nous nous dirigeâmes vers une pièce où nous attendait un petit déjeuner.

A cette occasion je vis la maîtresse du donjon et la reconnus. C'était elle qui me tenait en laisse la veille. Assise à notre table elle nous fit part de l'emploi du temps de la journée. Le matin les postulantes et invitées restaient entre elles pour s'occuper de leur corps, le parer au mieux et assister à un petit cours, différent chaque jour. L'après-midi était consacré aux maîtres et invités masculin. La gent féminine devait être à leur totale disposition. Quelquefois il y avait l'après-midi une présentation (comme ce fut le cas pour moi la veille), un marquage au fer, une punition ou le sacrement d'une soumise.

Mon maître avait bien choisi mes jours de visite au donjon. J'allais pouvoir assister à deux séances spéciales. Une douce chaleur commençait à envahir mon bas-ventre.

Lorsque le petit déjeuner fut achevé, je suivis toutes ces femmes jusqu'à la salle d'eau. Après nous être dévêtues nous nous dirigeâmes dans une pièce surchauffée où nous restâmes une demie-heure, puis à nouveau dans la salle d'eau pour nous rafraîchir. Toujours nues, deux par deux, les femmes
s'allongèrent sur une table comme celles que l'on trouve chez les gynécologues. Les cuisses bien écartées, les jambes relevées, sexe et anus étaient ainsi présentés. Je me demandais la raison de cette position pas très élégante, ni agréable lorsque je compris. Deux femmes habillées
tenaient à la main une petite bassine ainsi que divers objets pour la toilette intime (rasoir, ciseaux, cire, adoucissant...). En effet les sexes devaient être nets à 100 % (intérieur comme extérieur). Lorsque je sentis deux doigts inspecter ma vulve, j'eus un soubresaut d'appréhension qui se
transforma très vite en désir . Puis les doigts sortirent afin d'inspecter la deuxième cavité. Comme cette dernière était propre, j'eus droit à un traitement de faveur : un doigt huilé contourna délicatement la rosette, l'excitant , puis glissa facilement à l'intérieur.  Je sentais le doigt entrer et sortir, aller toujours plus loin dans son exploration. Je commençais à haleter tellement c'était bon. Hélas ce plaisir s'arrêta trop tôt à mon goût.

Lorsque nous fûmes toutes d'une propreté exemplaire, la maîtresse fit à nouveau son apparition. C'est elle qui devait nous dispenser le cours matinal.

Elle nous divisa en deux groupes : celles qui allaient s'exercer et celles qui allaient noter. Elle me fit prendre place dans le premier groupe.

La maîtresse nous indiqua qu'on allait travailler la langue : la  durcir, l'assouplir afin qu'elle serve au maximum au plaisir des messieurs.

Chacune suivit exactement les recommandations de la maîtresse. Sortir la langue, la faire tournoyer, creuser.... des tas de petits exercices que je découvris.

Puis vint le moment de mettre en application notre travail. Les femmes qui composaient le deuxième groupe, montèrent, , chacune à leur tour, sur la table. Penchées en avant, les fesses rebondies, les mains écartant au maximum les deux lobes, elles attendaient qu'on vienne les lécher.

Je fus la première à m'approcher de la cible. Ma langue vint caresser la rosette, et à force de poussées, se fraya un chemin dans l'entrée étroite. Pendant que je m'activais la femme qui m'offrait son anus gémissait . Au bout de dix minutes la maîtresse frappa des mains pour me signaler la fin
de ma prestation. Elle me dit que ce n'était pas mal mais que je devais améliorer ma technique. Une autre femme vint remplacer celle que j'avais léché et une autre prit ma place. A peine cinq minutes que ma remplaçante s'activait, que les gémissements allaient crescendo. Un cri de plaisir
déclencha un tonnerre d'applaudissements. Heureusement que mon maître n'assistait pas à la scène, car j'aurais eu honte de n'être pas à la hauteur. Je me promis intérieurement de travailler pour combler cette lacune.

La matinée s'achevait. Après un léger déjeuner nous nous rendîmes dans la grande salle où j'avais été présentée la veille.

La maîtresse m'avait pris à part en fin de matinée pour m'expliquer que je ne serai que spectatrice l'après-midi. Je me contenterai de servir les collations.

La grande salle avait été aménagée pour une circonstance particulière :  le marquage au fer et l'anneau de soumission. Aucune présentation n'était prévue.

La gent masculine fit son entrée. Hier je n'avais vu et senti que des sexes forcer ma bouche et mon cul et aucun visage ne me paru familier. J'en cherchais pourtant un qui n'était pas encore là.

Après avoir servi quelques collations, je prenai place à côté des autres femmes ; debout, près du mur droit, de façon à nous confondre avec la tapisserie.

La maîtresse conduisit la jeune fille qui ce matin était toute joyeuse, près de son maître. Celui-ci se leva, prit la chaîne en main et amena sa soumise au milieu de la pièce. Il lui ôta sa robe et l'attacha aux deux
piliers qui servaient à cette initiation. Elle était écartelée, en croix, poignets et chevilles liés. Comme elle l'avait souhaité, on lui mit un bandeau sur les yeux et son maître la bâillonna puis retourna s'asseoir.

Deux serviteurs amenèrent un récipient sur pied contenant bois et charbon ainsi qu'une tige en fer. Le feu fut allumé et la tige posée sur le brasier.

Lorsque la tige devint incandescente, le maître s'approcha de sa soumise, ôta son bandeau et se mit à lui parler doucement à l'oreille.

Un des deux serviteurs s'approcha de la soumise et appliqua la tige à l'intérieur d'une cuisse. L'odeur de chair brûlée me donna la nausée et je fermai les yeux. Lorsque je les rouvris, je vis des larmes couler le long du visage de la jeune femme ; le maître la caressait tendrement. Il semblait très ému.

Le deuxième serviteur s'agenouilla aux pieds de la soumise pour effectuer le piercing. L'opération fut rapide et certainement indolore car la soumise était radieuse ; son maître était toujours à ses côtés. Lorsque le serviteur se releva, le maître vint observer le travail effectué. Il écarta les lèvres du sexe de sa soumise et nous offrit la vue d'un anneau posé sur une petite lèvre. J'étais médusée. Je cherchai du regard mon maître. Je le vis. Nos regards fusionnèrent ; ce fut si intense que le temps sembla
s'arrêter.

Je sortis de ma torpeur au bruit des applaudissements. On détacha la jeune femme. La maîtresse du donjon s'approcha d'elle et lui ôta la chaîne. Maintenant qu'elle portait les initiales de son maître à l'intérieur de sa cuisse et l'anneau de soumission elle n'avait plus besoin de chaîne. Par
contre le collier resta à son cou. Son maître enveloppa sa soumise d'une longue cape pour cacher sa nudité et la conduisit dans une autre pièce. Elle en ressortit quelques minutes après, habillée et souriante. Son maître s'assit sur un fauteuil et elle s'agenouilla à ses pieds, sa tête reposant
sur les genoux de son protecteur.

Je continuai mon service mais j'étais ailleurs. Mon maître ne me quittait pas des yeux ; j'en déduisis que nous pensions la même chose.

Puis, il me fit signe de venir près de lui et me murmura qu'il était temps pour nous de quitter le donjon. La maîtresse m'accompagna dans une pièce où je me changeai. Je rejoignis mon maître qui m'attendait dans le hall. Il prit congé de notre hôtesse en la remerciant. Elle lui dit qu'il serait bon que je reste plus longtemps lors d'une prochaine visite.

Le voyage du retour me parut irréel. Ma tête reposait contre l'épaule de mon maître. Il me prit la main qu'il posa sur le bas de son pantalon ; je sentis un renflement dur plein de promesses...
Par Doggy - Publié dans : Récits
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Lundi 9 janvier 1 09 /01 /Jan 00:22

A la demande du maître je vais relater l'expérience que j'ai vécue lors de ma visite au donjon. Cette visite n'a duré que deux jours mais elle reste gravée dans ma mémoire.

Mon maître m'avait parlé d'une visite que nous effectuerions ensemble dans un donjon. A ce titre il m'avait offert  le DVD d'histoire d'Ô.

Je savais donc en partie ce qui m'attendait là-bas. J'aurais certainement à subir des attouchements, des pénétrations et les punitions corporelles infligées par des inconnus.

Les punitions ne me faisaient pas peur car mon maître m'avait promis sa présence tout le temps ; je pouvais me laisser attacher sans aucune crainte d'un débordement quelconque. Être caressée par des inconnus ne me posait pas de problème ; quant aux pénétrations, si la pensée d'être prise par un autre que celui que je vénère me dégoûtait, je revoyais la scène où Ô est baisée par un inconnu alors que son maître l'embrasse et je me disais que si mon maître agissait ainsi j'aurais l'impression que c'était lui qui me faisait l'amour.


Dans la voiture qui nous conduisait vers le donjon, aucun son ne vint troubler notre voyage car mon maître avait exigé le silence. Il me tenait la main simplement, comme pour me rassurer. A un certain moment il mit un bandeau sur mes yeux ; cela signifiait que nous approchions de la demeure.

La voiture s'arrêta et nous descendîmes. Je suivais aveuglement mon maître qui heureusement ne me lâchait pas la main.

Une porte grinça et s'ouvrit. Un échange de mains eut lieu. A ce moment-là la crainte me submergea. N'être plus guidée par mon maître était nouveau et effrayant pour moi. En plus, comme personne ne parlait je ne savais pas si mon maître était toujours à mes côtés. J'essayais de contenir ma peur et surtout de ne pas pleurer.

On m'ôta le bandeau dans une petite pièce. Deux femmes m'attendaient. Mon regard chercha la présence de l'aimé ; il était assis dans un fauteuil : j'étais sauvée. Les femmes me déshabillèrent et me conduisirent dans une petite salle d'eau attenante. Là, elles me lavèrent et me parfumèrent ; puis
elles me vêtirent d' une robe dont le dos était fendu à partir de la taille jusqu'à l'ourlet. Je regardai mon maître qui ne laissait rien paraître : ni contentement, ni approbation. Quant à moi j'avais l'impression de vivre ce qu'avait vécu Ô.


Une des femmes qui s'était occupée à faire ma toilette me mit un collier de métal autour du cou relié à une longue chaîne qui pendait dans le dos. Elle me guida vers mon maître qui se leva et demanda des ciseaux. Lorsqu'il les eût en main, il coupa un petit morceau de la robe au niveau des seins, puis déchira le tissu afin que mes seins soient à la vue de tous. Il prit un téton dans ses doigts et le pinça durement, puis se rassit.

Les deux femmes m'accompagnèrent dans une pièce où il y avait du monde : des femmes habillées comme moi et des hommes fumant cigares et buvant cognac. Les femmes étaient debout alors que les hommes étaient assis et parlaient entre eux.

On fit ma présentation et je fus dirigée vers une table où une des femmes me fit signe doucement de me pencher. Lorsque mon ventre toucha le meuble je sentis qu'on écartait ma robe : mes fesses étaient présentées à tous et je compris que j'allais goûter du fouet ; j'espérais en mon for intérieur que mon maître était présent car je ne l'avais plus vu.

Un coup sec suivi de petits coups firent sursauter mon corps. Puis, une pluie de coups se déversa sur mes fesses meurtries au point que je ne pus retenir des gémissements de douleur. Une femme vint bâillonner ma bouche et un silence qui semblait durer une éternité me glaçait. Puis des rires masculins fusionnèrent et des mains remplacèrent le fouet. Des mains d'hommes qui me palpaient, ouvraient mes fesses, des doigts qui s'insinuaient dans ma vulve, qui écartaient mes cuisses, qui me rendaient à
la fois folle de désir et de peur. Soudain je sentis un bâton de chair forcer l'entrée étroite et s'enfoncer profondément dans mes entrailles. Au bout de quelques va-et-vient le sexe gicla son liquide crémeux dans mon anus et aussitôt sortit ; il fut remplacé par un autre.

Je ne sais plus combien de sexes me visitèrent mais à un certain moment une femme tira sur la chaîne qui pendait dans mon dos, m'obligeant à me relever ; mes jambes tremblaient. Elle me fit signe de me mettre à quatre pattes et  m'amena, la chaîne à la main, vers un fauteuil sur lequel était assis un homme. Ce dernier m'ôta le bâillon et me présenta son sexe érigé afin que je le suce.
Tout en m'appliquant à sucer convenablement, comme le maître me l'avait enseigné, j'entendais autour de moi le clapotis de sexes qui fusionnent et le bruit des bouches qui sucent, mais aucun râle de plaisir ni gémissement.

De mon cul inondé de sperme je sentais le trop-plein s'écouler le long des cuisses. J'avais envie de m'isoler pour me rafraîchir mais je n'avais pas le droit de quémander quoi que ce soit. Quelqu'un dût se rendre compte de mon indisposition, car après un claquement des doigts, une femme vint s'agenouiller à mes côtés et avec sa langue nettoya mes cuisses. Sensation des plus troublantes.

Après avoir avalé le sperme de l'homme que j'avais sucé, on vint à nouveau me tirer par la chaîne pour me conduire vers un autre fauteuil où un nouveau sexe attendait ma bouche.

Le scénario se renouvela une troisième fois. Je ressentais des crampes à la mâchoire, tant elle était restée ouverte pour accueillir ces queues. Enfin on tira sur la chaîne pour que je me redresse et on me fit signe de rejoindre les autres femmes qui s'affairaient à servir la gente masculine. Une s'assurait que le tabac ne manquait pas, l'autre s'occupait des boissons..

On me remit un plateau avec des verres. J'avais eu de la chance car certaines femmes servaient de cendrier. Je profitai de mon service pour chercher mon maître du regard et lorsque je le vis, une chaleur douce se transforma en brasier, suivie d'une douleur sourde qui envahit mon être : deux femmes étaient en train de le sucer. Je regardai le trio, comme hypnotisée.

Une tétait le gland pendant que l'autre faisait glisser sa langue le long de la verge. Les quatre mains s'activaient près des couilles. Je maudissais ces femmes qui donnaient du plaisir à mon maître. Jamais je ne pourrai lui en donner autant. Une envie de crier, de frapper, de partir surgit en moi.
Des larmes pointaient lorsque mon maître me regarda. Ses yeux  parlèrent aux miens et me calmèrent aussitôt. Ils me disaient qu'il était bien, qu'il était fier de moi, que j'étais sa chienne, sa chose et que le reste n'était pas important. Alors je me redressai fièrement et continuai mon service.

Il se faisait tard et les hommes quittèrent la pièce ; mon maître les suivit.

Une femme me prit la main et me conduisit à nouveau dans la salle d'eau pour me nettoyer. Puis je m'allongeai sur le lit offrant mes fesses meurtries afin qu'on les calme avec un baume. J'avais gardé le collier et la chaîne mais cela ne me gênait pas.

Je m'endormis presqu'aussitôt lorsque je fus réveillée par une main qui tirait sur la chaîne.
Mon maître était là, un martinet à la main. Il me dit qu'il devait m'infliger une correction afin de laver mon corps souillé par tout ce sperme et comme c'est un maître prévenant il me retourna afin de ne pas accentuer la zébrure de mes fesses.

Il administra sur mes seins, mon ventre et mon sexe autant de coups de martinet que j'avais eu de mains sur mon corps, de sexes dans mon cul et ma bouche.

Enfin, lorsque la punition fut terminée, il me caressa puis sortit sa verge qu'il m'offrit. Il me demanda de la laver avec la langue car elle avait visité bouches et culs d'inconnues. Je le fis si consciencieusement que je sentis son sexe durcir et grossir dans ma bouche. Alors il prit sa queue en main et se branla en me regardant. Je reçus sur mon visage la récompense tant attendue ; j'en fus très honorée. Je décidai de ne pas laver mon visage afin que mes compagnes admirent mon trophée.

Mon maître me quitta pour que je puisse me reposer. Je m'endormis très vite, l'odeur du sperme aimé m'enivrant. Je ne savais pas quel serait le programme du lendemain mais j'étais confiante...

Par Doggy - Publié dans : Récits
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Mercredi 4 janvier 3 04 /01 /Jan 09:35

Je ne vais pas tout vous remettre en mémoire car vous vous endormiriez à la lecture. Je vais seulement vous narrer la rencontre de Blanche Neige avec ses petits amis. Mais comme dans toute histoire, il y a un prélude : le voici.

Blanche neige était une adorable princesse dôtée d'un physique des plus attrayants et l'âme noble et pure. Elle rêvait à son prince charmant et ne comprenait pas pourquoi une chaleur irradiait tout son corps lorsqu'elle imaginait l'homme de ses rêves.

Un soir où elle n'arrivait pas à trouver le sommeil, elle descendit aux cuisines pour prendre un verre de lait. Des gloussements étouffés attirèrent son attention. Elle se dirigea guidée par ces bruits bizarres et parvint devant une chambre de domestique. Elle colla son oreille contre la porte et fut sidérée par ce qu'elle entendit. Que se passait-il donc ? Une servante gémissait ... La curiosité la poussa à regarder à travers la serrure. La servante était allongée sur le lit, jupe et jupon retroussés, le cul tout rouge et zébré pendant qu'un majordome la fessait. Puis l'homme sortir de son pantalon un énorme bâton de chair qu'il enfouit dans les fesses de la servante. La donzelle gémissait encore mais de plaisir. Blanche Neige s'enfuit  toutes jambes jusque dans sa chambre. Elle se coucha sous les couvertures apeurée et le sommeil vint la retrouver.

Le lendemain elle se leva et ôta sa chemise de nuit devant le miroir sur pied. Elle contempla son corps dénudé. Ses seins hauts et fermes ; elle titilla ses mamelons qui durcirent à ce contact. Elle caressa lentement les deux globes puis une main descendit jusqu'à la toison et le contact de sa main eut un effet électrique sur elle. De peur elle retira sa main, puis se tourna pour admirer ses petites fesses. A ce moment là une servante entra (elle avait frappé doucement à la porte mais Blanche Neige n'avait pas entendu) et surprit la princesse qui devint écarlate.

La servante qui n'était plus pucelle s'approcha de sa maîtresse et avec délicatesse lui effleura les seins. Sans qu'une parole ne fut prononcée elle prit la main de Blanche Neige et la conduisit jusqu'au lit. La princesse s'étendit et la servante vint poser sa bouche sur le sexe moite de sa maîtresse. Avec sa langue elle lécha l'intérieur des grosses lèvres et avec sa bouche pinça plusieurs fois le clitoris. Blanche Neige haletait. Lorsque la langue de la servante s'introduisit plus profond Blanche Neige ne pu s'empêcher de crier de bonheur.

Hélas, la matinée qui s'était annoncée si prometteuse allait se poursuivre sous de tristes augures. La reine qui était la belle mère de blanche neige était très belle mais avait une âme noire. Elle n'aimait pas sa belle-fille et avec le temps voir transformer la princesse en une adorable jeune femme lui était insupportable. Elle fit appeler un chasseur et lui demanda d'abandonner Blanche Neige dans la forêt. Les loups la dévoreraient bien vite.
Le chasseur acquiesça. La reine appela sa belle-fille et lui dit qu'elle souhaitait manger des fraises des bois. Blanche Neige qui était aussi belle que généreuse lui proposa d'aller en cueillir dans la forêt si un chasseur pouvait l'accompagner car elle avait peur de se perdre.

Le chasseur partit avec la princesse. Lorsqu'ils furent au plus profond de la forêt il abandonna la jeune fille pendant qu'elle ramassait des fraises.

L'humidité surprit blanche neige qui comprit qu'il se faisait tard. Elle appela en vain le chasseur et se mit à pleurer devant le silence qui régnait. Mais comme elle était courageuse elle se mit à marcher en quête d'un abri. Sa ténacité fut récompensée car elle découvrit une maisonnée fort charmante.

Après avoir frappé discrètement à la porte plusieurs fois et n'ayant obtenu aucune réponse, elle ouvrit ladite porte et entra.

La maison était chaude et accueillante. Un bon feu brûlait dans la cheminée et dans l'âtre une marmite laissait échapper des effluves très appétissantes. Blanche neige avait si faim qu'elle mangea tout le contenu de la marmite. Maintenant la douce chaleur et le ventre plein la bercèrent au point que ses yeux se fermaient.

Elle chercha un coin pour dormir et comme il y avait des escaliers, elle les monta et découvrit une chambre avec sept petits lits. Il doit y avoir sept enfants se dit-elle en souriant car elle adorait les enfants. Sans doute n'ont-ils pas de maman et je pourrai la remplacer. Tout en s'imaginant en train de regarder ses sept enfants jouer autour d'elle, elle s'allongea sur les lits et s'endormit.
Blanche Neige dormait d'un profond et réparateur sommeil lorsque les habitants de la maisonnée rentrèrent.

Il s'agissait de sept nains  qui avaient dépassé l'adolescence depuis longtemps.

Lorsqu'ils se mirent à table et que l'aîné "Prof" apporta la marmite vide ils se regardèrent tous avec grand étonnement.

Tant pis pour la soupe, ils mangeraient mieux demain. Sans trop chercher à comprendre ils montèrent les escaliers pour rejoindre leur chambre.

Lorsqu'ils ouvrirent la porte ils virent la princesse endormie et s'approchèrent, chacun une bougie dans la main.

Dieux qu'elle était belle et innocente. Grincheux marmonna de la réveiller pour qu'elle s'en aille, mais les autres ne l'écoutèrent pas et s'approchèrent davantage de la belle endormie.
Un dégrafa le corsage et les deux petits seins qui sortirent eurent un effet saisissant sur les nains. Une enflure tendait  leur pantalon.

Simplet se glissa sous la jupe de Blanche neige et en ressortit le visage rouge de plaisir.

Que faire ? La réveiller au risque de l'effrayer ? Les nains étaient d'honnêtes travailleurs qui n'avaient pas l'occasion de rencontrer d'aussi jolie femme.

Ils ôtèrent tous leur pantalon, même Grincheux qui continuait à marmonner dans sa barbe.

Tous avaient étaient bien membrés et chaque sexe était au garde à vous.

Ils s'aventurèrent délicatement sur le corps offert de la princesse. L'un d'entre eux s'assit à califourchon sur le cou de l'endormie et glissa son sexe dans la bouche de la demoiselle. Deux autres caressaient les seins de la jeune fille, un troisième assis sur le ventre de Blanche neige se branlait en la regardant. Les trois derniers s'occupaient du bas-ventre. Pendant qu'un léchait le clitoris, les deux autres la fourraient des deux cotés.

Et que faisait Blanche Neige pendant ce temps-là ? Elle rêvait qu'elle gambadait sur l'herbe  avec son chien. Qu'elle s'étendait sur le sol, ouvrait les cuisses pendant que son chien venait lui lécher l'intérieur caché. Des gémissements de plaisir s'échappaient de sa bouche.

Lorsque les nains eurent tous joui, ils s'endormirent pressés contre ce corps tant aimé.

Le lendemain ils se levèrent à l'aube et descendirent préparer le petit déjeuner.

Une bonne odeur réveilla Blanche Neige qui s'étonna de s'être endormie nue. Elle avait un goût bizarre dans la bouche et des marques avaient séché sur son corps. Son petit cul lui faisait mal et elle ne comprenait pas pourquoi. Elle s'habilla et descendit à son tour.

Elle aperçut les nains et eût un instant de frayeur à les voir si âgés. Mais ils la mirent vite à l'aise.

Elle raconta son histoire et les nains lui proposèrent de rester chez eux, tenir la maisonnée propre et préparer le dîner.

Le temps passa ainsi. Tous étaient heureux. Les nains rentraient de fort bonne humeur le soir. Après avoir dîné ils attendaient que Blanche Neige s'endorme et ils la rejoignaient pour lui faire l'amour à son insu.

Mais hélas la reine sut que sa belle fille n'était pas morte comme elle l'avait espéré. Elle se transforma en vieille dame et vint offrir une belle pomme empoisonnée à Blanche neige.

Blanche Neige fut mise dans un cercueil en verre juqu'à ce qu'un prince vienne la réveiller par un baiser.

Un jour un prince qui chevauchait par là vit le cercueil qui renfermait la plus belle des jeunes filles. Il l'ouvrit et d'un baiser réveilla son aimée.

Il demanda à Blanche Neige de l'accompagner dans son royaume. Ils se marièrent et eurent sept enfants, et on ne sait pourquoi ces sept enfants étaient de très petite taille. Il faut dire que Blanche Neige avait gardé contact avec ses petits amis. Elle allait leur rendre visite toutes les semaines et chaque fois qu'elle les quittait elle avait le rose aux joues et du mal à marcher. Par contre elle venait le jour pour être éveillée, la réalité étant bien plus agréable que son rêve ; quant à son mari, le prince, il était très heureux d'avoir une femme aussi coquine au lit.

Par Doggy - Publié dans : Récits
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 13 décembre 2 13 /12 /Déc 23:18

... Même si elle était excitée et heureuse d'avoir son maître une nuit entière à ses côtés, la branche qu'il tenait fermement dans sa main lui faisait peur.

Elle n'avait jamais goûté à cet objet de punition et craignait la douleur qu'il pouvait générer.

Avant de monter les marches qui conduisaient aux chambres, le maître avait relevé jupe et jupons qu'il avait accrochés à la taille avec une barrette.

Elle le devançait, comme il le lui avait demandé. Chaque marche faisait onduler son cul de droite à gauche ; il prenait un malin plaisir à lui tapoter gentiment les fesses avec la petite branche. Elle avait pour ordre de monter les marches le plus lentement possible. A chaque caresse de la branche, elle poussait de petits gémissements, de peur bien évidemment. Avant de parvenir à l'étage, il lui demanda de se pencher en avant et à l'aide de la baguette contrôla l'entrée du cul de la belle. De petites perles de sperme commençaient à poindre.

Il ouvrit la bouche : "Suffit Madame. Il ne me plaît pas de vous entendre gémir. C'est ma catin que je veux dans mon lit ce soir et pas une fillette pleurnicharde". "De quoi avez-vous peur ?"

Elle lui rétorqua qu'il ne s'était jamais servi d'une baguette pour lui chauffer les fesses et qu'elle avait peur d'avoir trop mal.

"Que m'importe vos craintes ! Ne m'avez-vous pas désobéi tantôt ? Je vous punirai donc comme il me plaira".

Les voici dans la chambre. Elle demande la permission d'aller se rafraîchir. Il la lui refuse.

"Vous vous laverez quand bon me semblera". "Je sais que vous n'êtes pas à l'aise et j'en suis fort heureux".

"Au tapis jupe, jupons, corsage ! Je veux un corps nu pour le ravigoter."

Elle s'exécuta aussitôt, et tremblante, se mit à nouveau à quatre pattes, en lui offrant sa croupe.

Le seigneur posa une main sur un hémisphère, le caressant avec sensualité. Il n'était plus en colère et la rassura de sa voix qu'elle aimait tant.
Il ne se servirait pas de la baguette. Il alla chercher un fouet qu'il gardait dans une malle.

Il s'approcha d'elle et commença à jouer de cet instrument.

Quelques petits cris, gémissements de douleur qui se transformèrent bien vite en râle de plaisir.

"Voyez donc cette donzelle qui va jouir sous mes coups ! Je ne tape pas assez fort, Madame ? Criez, suppliez, vous n'avez pas encore le droit de jouir".

Les coups pleuvaient de plus en plus forts. Elle avait mal. Il sut que cela suffisait.

A nouveau il usa de sa main douce et rafraîchissante pour calmer le feu qu'il avait allumé par ses coups.

La main allait et venait, puis vint se poser à l'entrée défendue. Un doigt s'insinua, suivi bien vite par un autre, puis toute la main s'enfonça dans ses entrailles. Elle n'avait pas mal. Sans doute le sperme faisait office de lubrifiant. Mais surtout la douceur avec laquelle il jouait, sa voix qui murmurait des paroles apaisantes la mettaient en confiance et attisaient à nouveau son désir.

Il ressortit la main gluante qu'il passa sur les fesses chaudes afin d'en atténuer la chaleur.

"Allons maintenant visiter l'autre côté !".

Elle se leva et se coucha sur le lit, les jambes et cuisses bien écartées.

Il fut moins tendre cette fois en la pénétrant avec l'autre main. Elle se crispa sous ce viol infligé, mais dès que la main commença à danser dans son ventre, elle suivit le rythme qui devenait de plus en plus rapide.

Lorsqu'il serra sa main pour en faire un poing, elle hurla de plaisir.

Il lui offrit alors ses deux mains à lécher.

"A ton tour, ma chienne, fais-moi voir tes talents, donne-moi du plaisir !"

Elle ouvrit la bouche et avala goulûment la queue de son maître. Le sexe gardait encore les traces de sa visite anale ainsi que quelques gouttes de sperme non recueillies.

Elle s'en délecta. Le maître lui demanda d'accélérer la cadence. Il juta dans sa gorge un liquide épais et crémeux qu'elle avala d'un trait.

"Viens dans mes bras, ma chienne, parlons un peu, nous reprendrons nos ébats plus tard".

Allongés côte à côte, elle était lovée dans les bras de son seigneur. Elle était bien.

Ils parlèrent chacun à leur tour, lui des batailles auxquelles il avait participé, elle, de sa vie sans lui.

Il lui dit qu'il n'avait jamais cessé de penser à elle et d'ailleurs il lui avait ramené un présent.

Elle se leva pour aller chercher ce fameux présent, la joie au coeur et aux yeux.

Elle revint avec un paquet et lorsqu'elle l'ouvrit, quelle déception ! Il s'agissait d'une ceinture de chasteté.

"Pourquoi cette cruauté mon seigneur ? Ne savez-vous pas que je vous appartiens corps et âme et que personne d'autre que vous n'a le droit de me toucher ?"

Il se mit à rire et lui fit signe de s'allonger à nouveau près de lui.

"Je sais bien ma mie que tu m'es fidèle et que ton coeur ne palpite que pour moi. Mais la chair est faible et il y a autour de toi trop d'hommes qui s'agitent".

"Mais comment vais-je faire pour ma toilette intime" lui demanda-t-elle ?

"J'ai ramené avec moi un serviteur eunuque. C'est lui qui sera le gardien de la clé de tes trésors intimes. Il viendra à ta demande te libérer, mais ne te quittera pas jusqu'à ce qu'il ait fermé à nouveau la porte".

"Je suis triste seigneur à la pensée que vous doutez de moi", lui dit-elle.

"Non, ne sois pas triste. C'est une preuve d'amour que je t'offre. Aucun autre homme que moi ne visitera tes temples. Je t'enchaîne à moi ainsi pour toujours".

Consolée, elle se serra davantage contre son maître. Ses yeux commençaient à se fermer.

Par Doggy - Publié dans : Récits
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 10 décembre 6 10 /12 /Déc 01:20

Déjà un mois, demain, que leurs corps s'étaient retrouvés pour fêter leur premier anniversaire.

Accoudée au balcon, elle était songeuse, mélancolique. Elle regardait au loin, comme tous les jours, espérant apercevoir un nuage de poussière. Un brouhaha la réveilla de sa torpeur. On s'agitait tout autour. Elle leva les yeux et se demanda si elle ne rêvait pas.

Non, ce n'était pas un rêve. Le nuage s'avançait, se dissipait et laissait entrevoir le responsable de sa mélancolie. Elle le reconnu sans difficulté. Il chevauchait en tête, fier, sa lance tenue à la main droite ; son armure étincelait tant qu'elle ferma les yeux.

Son coeur se mit à battre de plus en plus fort, comme s'il allait exploser.

Mais la dame était aussi une femme faite de chair ; une chaleur inonda son bas-ventre, irradiant tout son corps. Elle s'enfuit en courant, descendant les marches comme une enfant avide de voir les cadeaux rapportés par son papa après un voyage.

Ils arrivèrent en même temps.

Alors que des mots dansaient dans sa tête "venez vite, valeureux chevalier, soulever la robe de votre catin ! Prenez votre bouclier pour vous protéger des rayonnements et de la chaleur produits par ma vulve en feu. Ce ne sont pas quelques flammes qui enrayeront votre bravoure; approchez plus près du brasier, si près qu'en vous reconnaissant, il ne sera plus hostile, mais accueillant", rien ne sortit de sa bouche. Devant lui elle redevenait pucelle, toute timide.

Fier, sur son destrier, il ôta son heaume et d'un air distant dit à sa dame : "faites-moi couler un bain, préparez unbon déjeuner et attendez-moi dans votre chambre". Elle acquiesça avec un sourire malicieux. Si la voix de son maître était distante, ses yeux par contre brillaient d'une lueur prometteuse.

Elle le devança pour lui préparer son bain et lui ôter son armure. Mais lorsqu'ils furent seuls, elle ne put résister à la tentation de frotter son corps contre le métal froid. Elle lui demanda la permission. Il lui sourit en guise d'acceptation.

Elle releva jupe et jupons et se frotta impudiquement contre l'armure de son amant. Que c'était bon ! la fraîcheur du métal apaisa le feu qui coulait en elle.

Elle lui donna le bain. Chaque fois que sa main s'égarait vers l'objet de son désir, il la repoussait gentiment. Aucun son ne s'échappait de leurs bouches. Seuls leurs corps et esprits se parlaient.

Elle le laissa déjeuner seul puis se reposer quelques instants. Il allait la rejoindre bientôt dans la chambre.

Elle se mit à nouveau sur le balcon et entendit des rires venir du jardin. Une envie folle de courir, les pieds nus dans l'herbe lui fit oublier que son seigneur allait venir.

Quand il entra dans la chambre vide il eut un sursaut de mécontentement. A quoi jouait-elle ? Ne savait-elle pas que le désir le submergeait lui aussi ? Il s'approcha de la fenêtre et la voyant gambader comme une adolescente, il n'osa l'appeler. Il descendit. Lorsqu'elle le vit, elle s'approcha, tremblante de désir et de peur d'être réprimandée.

Il lui murmura des mots troublants, si doux, mélodieux, que le brasier à peine endormi se réveilla brutalement. Elle sentit qu'elle ne pouvait retenir la lave gluante, abondante, qui s'écoulait lentement le long de ses cuisses.

Il comprit sa gêne et s'en amusa. "Relevez votre jupe, ma chienne, je veux vérifier une chose". Elle lui obéit. Il aperçu le filet qui coulait et se mit à rire. "Allez vous laver et attendez-moi cuisses écartées sur votre couche".

Ah non, elle n'allait pas lui obéir cette fois. Il s'était moqué d'elle. Elle le toisa sans bouger. Les yeux du chevalier se durcirent.

"Vous ne voulez pas être prise comme une reine, je vais vous prendre comme une catin". Il sortit un couteau de la poche de son pantalon et déchira les lacets qui tenaient le corsage de sa maîtresse. Deux obus en sortirent, les tétons durcis prêts à l'attaque. La vue de ces mamelles fut pour lui un déclic. Il sentit sa verge se durcir et réclamer son dû.

Il ordonna à sa maîtresse de se mettre à quatre pattes. Il la troussa violemment. Chaque main vint malaxer les deux hémisphères qui s'ouvrirent pour dévoiler la rosette. Il ne put se contenir davantage.

Son dard s'enfonça d'un coup sec dans le cul affamé. Elle émit un cri aussitôt suivi par un râle de plaisir.

Il la chevaucha peu de temps ; ils jouirent simultanément. Quelques minutes après, il se releva, aida sa maîtresse à faire de même et se dirigèrent vers l'intérieur.

Au passage, il prit une petite branche tombée sur le sol.

"L'apéritif a été consommé très vite. Passons au plat principal. J'espère que vous êtes en forme, car la nuit sera blanche".

Le coeur battant, elle suivit son maître...

Par Doggy - Publié dans : Récits
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Calendrier

Mai 2025
L M M J V S D
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  
<< < > >>

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus