Concours

Lundi 9 janvier 1 09 /01 /Jan 00:22

A la demande du maître je vais relater l'expérience que j'ai vécue lors de ma visite au donjon. Cette visite n'a duré que deux jours mais elle reste gravée dans ma mémoire.

Mon maître m'avait parlé d'une visite que nous effectuerions ensemble dans un donjon. A ce titre il m'avait offert  le DVD d'histoire d'Ô.

Je savais donc en partie ce qui m'attendait là-bas. J'aurais certainement à subir des attouchements, des pénétrations et les punitions corporelles infligées par des inconnus.

Les punitions ne me faisaient pas peur car mon maître m'avait promis sa présence tout le temps ; je pouvais me laisser attacher sans aucune crainte d'un débordement quelconque. Être caressée par des inconnus ne me posait pas de problème ; quant aux pénétrations, si la pensée d'être prise par un autre que celui que je vénère me dégoûtait, je revoyais la scène où Ô est baisée par un inconnu alors que son maître l'embrasse et je me disais que si mon maître agissait ainsi j'aurais l'impression que c'était lui qui me faisait l'amour.


Dans la voiture qui nous conduisait vers le donjon, aucun son ne vint troubler notre voyage car mon maître avait exigé le silence. Il me tenait la main simplement, comme pour me rassurer. A un certain moment il mit un bandeau sur mes yeux ; cela signifiait que nous approchions de la demeure.

La voiture s'arrêta et nous descendîmes. Je suivais aveuglement mon maître qui heureusement ne me lâchait pas la main.

Une porte grinça et s'ouvrit. Un échange de mains eut lieu. A ce moment-là la crainte me submergea. N'être plus guidée par mon maître était nouveau et effrayant pour moi. En plus, comme personne ne parlait je ne savais pas si mon maître était toujours à mes côtés. J'essayais de contenir ma peur et surtout de ne pas pleurer.

On m'ôta le bandeau dans une petite pièce. Deux femmes m'attendaient. Mon regard chercha la présence de l'aimé ; il était assis dans un fauteuil : j'étais sauvée. Les femmes me déshabillèrent et me conduisirent dans une petite salle d'eau attenante. Là, elles me lavèrent et me parfumèrent ; puis
elles me vêtirent d' une robe dont le dos était fendu à partir de la taille jusqu'à l'ourlet. Je regardai mon maître qui ne laissait rien paraître : ni contentement, ni approbation. Quant à moi j'avais l'impression de vivre ce qu'avait vécu Ô.


Une des femmes qui s'était occupée à faire ma toilette me mit un collier de métal autour du cou relié à une longue chaîne qui pendait dans le dos. Elle me guida vers mon maître qui se leva et demanda des ciseaux. Lorsqu'il les eût en main, il coupa un petit morceau de la robe au niveau des seins, puis déchira le tissu afin que mes seins soient à la vue de tous. Il prit un téton dans ses doigts et le pinça durement, puis se rassit.

Les deux femmes m'accompagnèrent dans une pièce où il y avait du monde : des femmes habillées comme moi et des hommes fumant cigares et buvant cognac. Les femmes étaient debout alors que les hommes étaient assis et parlaient entre eux.

On fit ma présentation et je fus dirigée vers une table où une des femmes me fit signe doucement de me pencher. Lorsque mon ventre toucha le meuble je sentis qu'on écartait ma robe : mes fesses étaient présentées à tous et je compris que j'allais goûter du fouet ; j'espérais en mon for intérieur que mon maître était présent car je ne l'avais plus vu.

Un coup sec suivi de petits coups firent sursauter mon corps. Puis, une pluie de coups se déversa sur mes fesses meurtries au point que je ne pus retenir des gémissements de douleur. Une femme vint bâillonner ma bouche et un silence qui semblait durer une éternité me glaçait. Puis des rires masculins fusionnèrent et des mains remplacèrent le fouet. Des mains d'hommes qui me palpaient, ouvraient mes fesses, des doigts qui s'insinuaient dans ma vulve, qui écartaient mes cuisses, qui me rendaient à
la fois folle de désir et de peur. Soudain je sentis un bâton de chair forcer l'entrée étroite et s'enfoncer profondément dans mes entrailles. Au bout de quelques va-et-vient le sexe gicla son liquide crémeux dans mon anus et aussitôt sortit ; il fut remplacé par un autre.

Je ne sais plus combien de sexes me visitèrent mais à un certain moment une femme tira sur la chaîne qui pendait dans mon dos, m'obligeant à me relever ; mes jambes tremblaient. Elle me fit signe de me mettre à quatre pattes et  m'amena, la chaîne à la main, vers un fauteuil sur lequel était assis un homme. Ce dernier m'ôta le bâillon et me présenta son sexe érigé afin que je le suce.
Tout en m'appliquant à sucer convenablement, comme le maître me l'avait enseigné, j'entendais autour de moi le clapotis de sexes qui fusionnent et le bruit des bouches qui sucent, mais aucun râle de plaisir ni gémissement.

De mon cul inondé de sperme je sentais le trop-plein s'écouler le long des cuisses. J'avais envie de m'isoler pour me rafraîchir mais je n'avais pas le droit de quémander quoi que ce soit. Quelqu'un dût se rendre compte de mon indisposition, car après un claquement des doigts, une femme vint s'agenouiller à mes côtés et avec sa langue nettoya mes cuisses. Sensation des plus troublantes.

Après avoir avalé le sperme de l'homme que j'avais sucé, on vint à nouveau me tirer par la chaîne pour me conduire vers un autre fauteuil où un nouveau sexe attendait ma bouche.

Le scénario se renouvela une troisième fois. Je ressentais des crampes à la mâchoire, tant elle était restée ouverte pour accueillir ces queues. Enfin on tira sur la chaîne pour que je me redresse et on me fit signe de rejoindre les autres femmes qui s'affairaient à servir la gente masculine. Une s'assurait que le tabac ne manquait pas, l'autre s'occupait des boissons..

On me remit un plateau avec des verres. J'avais eu de la chance car certaines femmes servaient de cendrier. Je profitai de mon service pour chercher mon maître du regard et lorsque je le vis, une chaleur douce se transforma en brasier, suivie d'une douleur sourde qui envahit mon être : deux femmes étaient en train de le sucer. Je regardai le trio, comme hypnotisée.

Une tétait le gland pendant que l'autre faisait glisser sa langue le long de la verge. Les quatre mains s'activaient près des couilles. Je maudissais ces femmes qui donnaient du plaisir à mon maître. Jamais je ne pourrai lui en donner autant. Une envie de crier, de frapper, de partir surgit en moi.
Des larmes pointaient lorsque mon maître me regarda. Ses yeux  parlèrent aux miens et me calmèrent aussitôt. Ils me disaient qu'il était bien, qu'il était fier de moi, que j'étais sa chienne, sa chose et que le reste n'était pas important. Alors je me redressai fièrement et continuai mon service.

Il se faisait tard et les hommes quittèrent la pièce ; mon maître les suivit.

Une femme me prit la main et me conduisit à nouveau dans la salle d'eau pour me nettoyer. Puis je m'allongeai sur le lit offrant mes fesses meurtries afin qu'on les calme avec un baume. J'avais gardé le collier et la chaîne mais cela ne me gênait pas.

Je m'endormis presqu'aussitôt lorsque je fus réveillée par une main qui tirait sur la chaîne.
Mon maître était là, un martinet à la main. Il me dit qu'il devait m'infliger une correction afin de laver mon corps souillé par tout ce sperme et comme c'est un maître prévenant il me retourna afin de ne pas accentuer la zébrure de mes fesses.

Il administra sur mes seins, mon ventre et mon sexe autant de coups de martinet que j'avais eu de mains sur mon corps, de sexes dans mon cul et ma bouche.

Enfin, lorsque la punition fut terminée, il me caressa puis sortit sa verge qu'il m'offrit. Il me demanda de la laver avec la langue car elle avait visité bouches et culs d'inconnues. Je le fis si consciencieusement que je sentis son sexe durcir et grossir dans ma bouche. Alors il prit sa queue en main et se branla en me regardant. Je reçus sur mon visage la récompense tant attendue ; j'en fus très honorée. Je décidai de ne pas laver mon visage afin que mes compagnes admirent mon trophée.

Mon maître me quitta pour que je puisse me reposer. Je m'endormis très vite, l'odeur du sperme aimé m'enivrant. Je ne savais pas quel serait le programme du lendemain mais j'étais confiante...

Par Doggy - Publié dans : Récits
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