Concours

Mercredi 19 juillet 3 19 /07 /Juil 00:55

La première fois où  il m'a fait goûter la chaleur de la cigarette. Cela se
passait un après-midi. J'avais les yeux bandés. Je sentais la chaleur
s'approcher, frôler ma peau sans jamais s'y arrêter. Puis, lorsque mon
maître m'a sentie prête à accueillir ce baiser brûlant, il a appuyé sa
cigarette incandescente sur mon sein tout en cueillant mes lèvres. J'ai
associé la brûlure à son baiser ardent et j'ai éprouvé une délicieuse
sensation.

La première fois où j'ai joui rien qu'au son de sa voix. Un autre hôtel
nous accueillait. Mon maître m'avait attachée sur le lit. Après m'avoir
excitée, il avait collé son sexe contre mes mains attachées et me parlait à
voix douce. J'ondulais du bassin bercée par sa voix. Je sentais la tiédeur
de son sexe et une vague de plaisir déferla en moi.

La première fois qu'il me fit découvrir son sexe avec le toucher et
l'odorat. J'avais les yeux bandés et les mains attachées. Mon maître se
tenait derrière moi. Il avait posé son sexe tantôt dans une paume de la
main, tantôt dans l'autre. C'était troublant. Puis je m'étais mise à genoux
et se plaçant devant moi son sexe effleurait mon nez. Je planais.

La première fois où il m'a sodomisée à sec. Il est entré si fort et si
rapidement en moi que j'en ai eu mal et n'ai pu retenir un petit jet
d'urine. Mais le plaisir a vite remplacé la légère douleur.

La première fois où il m'a suivi aux toilettes et m'a demandé de soulager
ma vessie debout, les cuisses écartées tout en me regardant . C'est un lieu
où l'on aime bien être seul . Uriner debout sur la cuvette et être regardée
m'a mis mal à l'aise. Il a pris du papier pour m'essuyer puis l'a mis dans
ma bouche.

La première fois où il a uriné sur moi. J'étais couchée dans la baignoire
et j'ai senti le liquide tiède sur mon corps. C'est une sensation très
agréable qui m'a troublée.

Par Doggy - Publié dans : Confessions de Doggy
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Vendredi 7 juillet 5 07 /07 /Juil 09:27

La première fois où je le vis. Je l'attendais à l'hôtel. Habillée d'une
guêpière noire, bas résilles, loup sur les yeux, j'étais assise à
califourchon sur une chaise tournant le dos à la porte d'entrée. Je portais
un collier de chien à mon cou, comme il me l'avait demandé. Une longue
chaîne en acier reliait mes poignets à la fenêtre. Evidemment l'attachement
était symbolique. J'avais posé sur le lit un martinet, à sa demande
également. Lorsque la porte s'ouvrit mon coeur s'emballa, à la fois de joie
et d'appréhension. Ses pas frôlaient le sol ; il s'approcha de moi et me
retourna ; lorsqu'il enleva mon loup je découvris mon maître. Il était
d'une beauté majestueuse mais un regard hautain et méprisant qui me glaça.
Il joua avec moi, tourmentant délicieusement mon corps. J'avais un désir
fou d'être pénétrée mais il n'accéda pas à ma demande de suite. D'un ton
distant il me dit qu'il n'avait pas envie d'aller plus loin et qu'il allait
me quitter. Je fondis en larmes et le suppliai de rester. Je n'ai pas honte
de m'être ainsi rabaissée car j'avais déjà besoin de lui à un point
inimaginable.

La première fois où son sexe m'apparut je fus émerveillée car mon maître
est doté d'un sexe volumineux, tout en étant dans la normalité. Lorsqu'il
est dans mon corps je suis complètement remplie et le plaisir qu'il me
donne est divin ; par contre je n'arrive pas à le mettre en bouche dans sa
totalité.

La première fois où il me tint dans ses bras je sus que j'y étais à ma
place et me sentis protégée contre tout.

La première nuit passée ensemble engendra plusieurs premières fois. Mon
maître avait réservé une suite à  l'hôtel Mercure. Cette nuit fut magique ;
elle est gravée à jamais dans ma mémoire.

La première fois que j'ai joui par les seins. Mon maître me les avait si
bien caressés et malaxés que je connus une jouissance auparavant inconnue ;
mes seins en pleurèrent de joie.

Cette même nuit mon maître m'obligea à me regarder longuement dans le
miroir. C'était une première. Je me suis sentie perdue, très mal à l'aise.

La première fois où je suis sortie "nue". Mon maître m'avait donné
rendez-vous dans un café ; je devais le rejoindre sans maquillage et sans
parfum. Pour moi ce fut une épreuve difficile.

La première fois où j'ai fait de l'exhibitionnisme. Lors de la deuxième
nuit passée avec mon maître, ce dernier m'a exhibée à la fenêtre, les seins
à l'air. C'était surprenant mais agréable.

 

La première fois où j'ai joui sous le martinet. Lors de notre première nuit
il m'a fait découvrir un monde nouveau : celui de la jouissance générée par
la brûlure des lanières. Mon maître excelle en tout et il sait très bien
manier le martinet : les coups légers tels des caresses alternent avec ceux
administrés fougueusement.....

(a suivre)

Par Doggy - Publié dans : Confessions de Doggy
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Samedi 29 avril 6 29 /04 /Avr 14:23

C'est un matin. J'ai donné rendez-vous à Doggy au buffet de la gare avec des instructions précises. Je me suis installé sur une banquette avec vue imprenable sur la salle. A 9h00 précise, elle pousse la porte, jette un coup d'oeil, croise mon regard et baisse aussitôt les yeux. Elle va s'assoir à une table libre située le plus possible en face de moi. Personne parmi les clients ne semble l'avoir remarquée. Sa jupe, comme je le lui ai ordonné par mail la veille au soir, est courte mais assez ample. Suffisemment en tout cas pour qu'elle la relève avant de poser son cul nu sur sa chaise et, qu'une fois assise, elle puisse écarter les cuisses. De là où je suis, je n'en perds pas une tout en faisant semblant de me prendre la tête avec mon notepad. J'ai une vue imprenable sur sa chatte rasée. Il me semble qu'elle est déjà luisante. En revanche, impossible de distinguer si, sous son chemisier délicatement translucide et largement échancré, elle a les seins libres. La poitrine de ma chienne est imposante et lourde. Je sais la difficulté qu'elle éprouve lorsque ses seins ne sont pas soutenus. Mais si elle a manqué à ses obligations, ce sera une occasion supplémentaire de lui infliger une punition. Elle le sait. Moi aussi.

Le garçon vient lui prendre la commande. Il ne semble pas avoir remarqué qu'elle a les seins nus ni même qu'elle porte son collier de chienne autour du cou. Malgré le bruit ambiant (dont cette foutue télé qui diffuse des clips en boucle) j'entends ma soumise commander un café. Nulle émotion dans sa voix. Aucun regard vers moi. Elle attend. Semble visiblement soucieuse de faire plaisir au Maître en écartant d'avantage ses cuisses sous la table.

Lorsque le garçon revient avec son plateau et comme je le lui ai ordonné, Doggy prend son sac sur la banquette, l'ouvre. Le garçon, plateau en main, attend à côté d'elle qu'elle rêgle son petit noir. Une fois le sac ouvert, il lui faut trouver son porte monnaie, enfoui tout au fond du fatras de son sac. Mais c'est le sac de Doggy, ma soumise. Alors, tout en fouillant la grande poche, elle sort ses accessoires et les pose ostensiblement, sur la table. Un inventer à la pervers : un tube de gel lubrifiant, une paire de menottes, un vibro masseur, une petite culotte, un plug anal... enfin le porte monnaie. Elle l'ouvre et paye. Le garçon reste impassible mais son regard a changé en découvrant le bric à branle de ma chienne.

Il rend la monnaie avec le rouge aux joues. Doggy le remercie et range son attirail de salope lentement. Elle range tout... sauf son plug et le slip. Se lève et se rend aux toilettes, l'objet en main, la dentelle dans l'autre. Aucun client ne fait attention. Mais le serveur la suit du regard. J'espère qu'il va aller la rejoindre ou tenter de la matter mais derrière le comptoir la patronne lui fait signe qu'il y a du monde en terrasse. Il repart avec son plateau, je lis un rien de déception lorsqu'il passe devant ma table.

Doggy revient, marchant un peu difficilement. Cette fois, je me rends compte qu'un couple, installé sur la banquette à ma droite, regarde Doggy et pouffe de rire. Ils sont jeunes, le garçon a passé la main sur l'épaule de sa copine et ses doigts semble chercher à lui caresser le haut des seins. J'aurai du les repérer plus tôt ces deux tourtereaux : j'ai le sentiment qu'ils ont repéré Doggy depuis son entrée et non rien perdu de son manège obscène.

Doggy prend ses affaires et quitte le buffet de la gare. Le couple de jeune accompagne le déhanchement de sa croupe d'un regard brûlant. Je m'allume une cigarette me lève et quitte moi aussi l'établissement. Dehors, le garçon est en train de baragouiner anglais avec un groupe de touristes fraîchement débarqué d'un TGV. Il s'interrompt dans sa revisitation de la méthode Assimil lorsqu'il voit Doggy sortir du Buffet et marcher en direction du parking souterrain. Lorsque je passe devant lui il semble obnubilé par le cul de ma chienne. Je lui fais un sourire, lui dit aurevoir et lui adresse un clin d'oeil qu'il ne comprend pas... Sauf lorsqu'il s'aperçoit que je file à l'arrière train de la pute.

Je prends mon temps pour descendre au parking. Doggy m'attend dans les escaliers qui sentent l'urine et le béton froid. Je la prends par son collier de chienne en tirant dessus d'un coup sec et lui fourre ma langue dans sa bouche. Elle suffoque sous mon baiser et se met à trembler car pendant que ma langue lui fourrage la glotte j'ai sorti un de ses nibards du chemisier (c'est bien, elle m'a obéi, n'avait pas de soutif) et je lui écrase mon clop sur le haut du sein. Elle se pâme sous le baiser et la brûlure. Je sais qu'elle va en vouloir d'avantage mais je n'ai pas le temps. Je la retourne violement contre le mur, lui fais écarter les jambes et plaque ma main sous sa jupe. Sous la culotte qu'elle est allée mettre aux toilettes, je sens le plug bien enfoncé dans son petit trou. Je passe ma main sous son slip et, comme pour vérifier que le plug est bien ancré dans ses entrailles, je joue un instant avec : le sors, le rentre, le tourne. Doggy n'en peut plus, prête à exploser dans l'escalier. Je lui fiche une sévère claque sur le fion qui la fait sursauter et pénétrer le plug encore plus loin et l'invite à descendre jusqu'au niveau -2.

Arrivée à la voiture, elle s'installe au volant. La portière ouverte, je reste debout devant elle et ouvre ma braguette. A chaque fois qu'elle voit mon sexe, Doggy ne peut s'empêcher d'être émue. Comme je le lui ai précisé dans mes instructions, pas question qu'elle me taille une pipe ce matin. En bonne chienne, lècher devrait lui suffire. Elle s'applique donc à passer sa langue sur mon gland, ma hampe par petits coups rapides puis plus insistants. J'ai baissé mon jean et mon boxer sur les genoux et d'une main, lui présente mes couilles. Elle les lêche et le bout de sa langue, je le sais, voudrait se glisser au-delà, vers mon anus. Doggy sait divinement me faire le cul. Mais elle n'y a pas droit ce matin. Pendant qu'elle s'occupe de mes bourses, j'ai pris la chose en main et m'active sur mon manche. Le premier jet de foutre lui arrive dans les cheveux. Elle relève la tête pour s'en prendre plein la gueule. Je lui offre deux trois giclées sur le visage et dirige les derniers flots de sperme sur son corsage, à la hauteur de la brûlure que je viens de lui faire. Le haut du sein marqué d'un cercle brun, auréolé de cendre et arrosé de foutre, le sperme dégoulinant de son visage et parsemant de filaments blanchâtres sa coiffure, un plug enfoncé dans le cul je prends congé de ma soumise qui me remercie. Avant de la quitter je lui fais promettre de ne pas se nettoyer avant de retourner à son travail. Et c'est ainsi, soumise et fière de l'être que my slave, ce matin là, est allée au bureau.

Par Le Maitre - Publié dans : Elle et Moi
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Dimanche 9 avril 7 09 /04 /Avr 23:19

Mon maître m'a demandé de vous relater les "première fois" depuis notre
rencontre. Notre relation est si intense qu'il peut s'avérer que j'en
oublie quelques-unes. Je quémande sa clémence tout en sachant qu'il se
servira de ce prétexte pour m'infliger une punition corporelle.

Commençons par le début.

J'ai rencontré mon maître via internet. J'avais mis une annonce qui
stipulait mon désir de rencontrer un homme dominateur. En fait je n'avais
pas du tout la notion de maître-esclave. Je souhaitais seulement un homme
qui dirige notre relation.

La première fois que mon maître m'écrivit c'était la réponse à mon annonce.
Le style du message était court mais si bien formulé que j'ai eu tout de
suite le désir de bannir toutes les autres réponses et d'entamer un échange
épistolaire avec lui.

La première fois où je succombai au charme de mon maître fut à travers ses
écrits. L'écrivain me charma au point que je tombai amoureuse de lui très
vite. Je lui appartenais cérébralement avant de le rencontrer réellement.

La première fois où j'ai entendu le son de sa voix. Je m'en souviens comme
si c'était hier tant j'en ai été bouleversée. Il m'a appelé à mon bureau et
je n'arrivais pas à lui parler correctement à cause de l'émotion
envahissante ; j'en ai même pleuré.

La première rencontre eût lieu à l'hôtel. Mon maître avait réservé un très
joli hôtel mais commençait déjà à jouer avec sa soumise. En effet il ne
m'avait pas indiqué le nom et l'adresse dudit hôtel ; j'avoue que j'étais
assez agacée. J'étais très excitée à l'idée de le voir en personne et je
désirais avoir le temps pour me préparer physiquement et mentalement. Il ne
me communiqua le lieu exact que peu de temps avant le rendez-vous.

(A suivre)

Par Doggy - Publié dans : Confessions de Doggy
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Jeudi 19 janvier 4 19 /01 /Jan 23:45
Le lendemain matin je fus réveillée par le parfum de chocolat chaud et pain grillé. Des petits rires qui s'approchaient de mon oreille me tirèrent de mon sommeil. Autour de mon lit se tenaient deux jeunes filles qui me firent don d'un gracieux sourire.

Je leur demandai la raison de leur joie. Une d'entre elles devait être marquée des initiales de son maître et recevoir l'anneau de soumission. Quant à la deuxième elle était excitée par le cours que nous allions
recevoir le matin. Je n'avais aucune idée de cet enseignement dont mon maître ne m'avait pas parlé.

Je me levai et suivis les jeunes filles qui me conduisirent dans la salle d'eau. On me fit à nouveau la toilette et mes deux compagnes chuchotaient et riaient en me voyant gênée. Puis nous nous dirigeâmes vers une pièce où nous attendait un petit déjeuner.

A cette occasion je vis la maîtresse du donjon et la reconnus. C'était elle qui me tenait en laisse la veille. Assise à notre table elle nous fit part de l'emploi du temps de la journée. Le matin les postulantes et invitées restaient entre elles pour s'occuper de leur corps, le parer au mieux et assister à un petit cours, différent chaque jour. L'après-midi était consacré aux maîtres et invités masculin. La gent féminine devait être à leur totale disposition. Quelquefois il y avait l'après-midi une présentation (comme ce fut le cas pour moi la veille), un marquage au fer, une punition ou le sacrement d'une soumise.

Mon maître avait bien choisi mes jours de visite au donjon. J'allais pouvoir assister à deux séances spéciales. Une douce chaleur commençait à envahir mon bas-ventre.

Lorsque le petit déjeuner fut achevé, je suivis toutes ces femmes jusqu'à la salle d'eau. Après nous être dévêtues nous nous dirigeâmes dans une pièce surchauffée où nous restâmes une demie-heure, puis à nouveau dans la salle d'eau pour nous rafraîchir. Toujours nues, deux par deux, les femmes
s'allongèrent sur une table comme celles que l'on trouve chez les gynécologues. Les cuisses bien écartées, les jambes relevées, sexe et anus étaient ainsi présentés. Je me demandais la raison de cette position pas très élégante, ni agréable lorsque je compris. Deux femmes habillées
tenaient à la main une petite bassine ainsi que divers objets pour la toilette intime (rasoir, ciseaux, cire, adoucissant...). En effet les sexes devaient être nets à 100 % (intérieur comme extérieur). Lorsque je sentis deux doigts inspecter ma vulve, j'eus un soubresaut d'appréhension qui se
transforma très vite en désir . Puis les doigts sortirent afin d'inspecter la deuxième cavité. Comme cette dernière était propre, j'eus droit à un traitement de faveur : un doigt huilé contourna délicatement la rosette, l'excitant , puis glissa facilement à l'intérieur.  Je sentais le doigt entrer et sortir, aller toujours plus loin dans son exploration. Je commençais à haleter tellement c'était bon. Hélas ce plaisir s'arrêta trop tôt à mon goût.

Lorsque nous fûmes toutes d'une propreté exemplaire, la maîtresse fit à nouveau son apparition. C'est elle qui devait nous dispenser le cours matinal.

Elle nous divisa en deux groupes : celles qui allaient s'exercer et celles qui allaient noter. Elle me fit prendre place dans le premier groupe.

La maîtresse nous indiqua qu'on allait travailler la langue : la  durcir, l'assouplir afin qu'elle serve au maximum au plaisir des messieurs.

Chacune suivit exactement les recommandations de la maîtresse. Sortir la langue, la faire tournoyer, creuser.... des tas de petits exercices que je découvris.

Puis vint le moment de mettre en application notre travail. Les femmes qui composaient le deuxième groupe, montèrent, , chacune à leur tour, sur la table. Penchées en avant, les fesses rebondies, les mains écartant au maximum les deux lobes, elles attendaient qu'on vienne les lécher.

Je fus la première à m'approcher de la cible. Ma langue vint caresser la rosette, et à force de poussées, se fraya un chemin dans l'entrée étroite. Pendant que je m'activais la femme qui m'offrait son anus gémissait . Au bout de dix minutes la maîtresse frappa des mains pour me signaler la fin
de ma prestation. Elle me dit que ce n'était pas mal mais que je devais améliorer ma technique. Une autre femme vint remplacer celle que j'avais léché et une autre prit ma place. A peine cinq minutes que ma remplaçante s'activait, que les gémissements allaient crescendo. Un cri de plaisir
déclencha un tonnerre d'applaudissements. Heureusement que mon maître n'assistait pas à la scène, car j'aurais eu honte de n'être pas à la hauteur. Je me promis intérieurement de travailler pour combler cette lacune.

La matinée s'achevait. Après un léger déjeuner nous nous rendîmes dans la grande salle où j'avais été présentée la veille.

La maîtresse m'avait pris à part en fin de matinée pour m'expliquer que je ne serai que spectatrice l'après-midi. Je me contenterai de servir les collations.

La grande salle avait été aménagée pour une circonstance particulière :  le marquage au fer et l'anneau de soumission. Aucune présentation n'était prévue.

La gent masculine fit son entrée. Hier je n'avais vu et senti que des sexes forcer ma bouche et mon cul et aucun visage ne me paru familier. J'en cherchais pourtant un qui n'était pas encore là.

Après avoir servi quelques collations, je prenai place à côté des autres femmes ; debout, près du mur droit, de façon à nous confondre avec la tapisserie.

La maîtresse conduisit la jeune fille qui ce matin était toute joyeuse, près de son maître. Celui-ci se leva, prit la chaîne en main et amena sa soumise au milieu de la pièce. Il lui ôta sa robe et l'attacha aux deux
piliers qui servaient à cette initiation. Elle était écartelée, en croix, poignets et chevilles liés. Comme elle l'avait souhaité, on lui mit un bandeau sur les yeux et son maître la bâillonna puis retourna s'asseoir.

Deux serviteurs amenèrent un récipient sur pied contenant bois et charbon ainsi qu'une tige en fer. Le feu fut allumé et la tige posée sur le brasier.

Lorsque la tige devint incandescente, le maître s'approcha de sa soumise, ôta son bandeau et se mit à lui parler doucement à l'oreille.

Un des deux serviteurs s'approcha de la soumise et appliqua la tige à l'intérieur d'une cuisse. L'odeur de chair brûlée me donna la nausée et je fermai les yeux. Lorsque je les rouvris, je vis des larmes couler le long du visage de la jeune femme ; le maître la caressait tendrement. Il semblait très ému.

Le deuxième serviteur s'agenouilla aux pieds de la soumise pour effectuer le piercing. L'opération fut rapide et certainement indolore car la soumise était radieuse ; son maître était toujours à ses côtés. Lorsque le serviteur se releva, le maître vint observer le travail effectué. Il écarta les lèvres du sexe de sa soumise et nous offrit la vue d'un anneau posé sur une petite lèvre. J'étais médusée. Je cherchai du regard mon maître. Je le vis. Nos regards fusionnèrent ; ce fut si intense que le temps sembla
s'arrêter.

Je sortis de ma torpeur au bruit des applaudissements. On détacha la jeune femme. La maîtresse du donjon s'approcha d'elle et lui ôta la chaîne. Maintenant qu'elle portait les initiales de son maître à l'intérieur de sa cuisse et l'anneau de soumission elle n'avait plus besoin de chaîne. Par
contre le collier resta à son cou. Son maître enveloppa sa soumise d'une longue cape pour cacher sa nudité et la conduisit dans une autre pièce. Elle en ressortit quelques minutes après, habillée et souriante. Son maître s'assit sur un fauteuil et elle s'agenouilla à ses pieds, sa tête reposant
sur les genoux de son protecteur.

Je continuai mon service mais j'étais ailleurs. Mon maître ne me quittait pas des yeux ; j'en déduisis que nous pensions la même chose.

Puis, il me fit signe de venir près de lui et me murmura qu'il était temps pour nous de quitter le donjon. La maîtresse m'accompagna dans une pièce où je me changeai. Je rejoignis mon maître qui m'attendait dans le hall. Il prit congé de notre hôtesse en la remerciant. Elle lui dit qu'il serait bon que je reste plus longtemps lors d'une prochaine visite.

Le voyage du retour me parut irréel. Ma tête reposait contre l'épaule de mon maître. Il me prit la main qu'il posa sur le bas de son pantalon ; je sentis un renflement dur plein de promesses...
Par Doggy - Publié dans : Récits
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