Concours

Jeudi 19 janvier 4 19 /01 /Jan 23:45
Le lendemain matin je fus réveillée par le parfum de chocolat chaud et pain grillé. Des petits rires qui s'approchaient de mon oreille me tirèrent de mon sommeil. Autour de mon lit se tenaient deux jeunes filles qui me firent don d'un gracieux sourire.

Je leur demandai la raison de leur joie. Une d'entre elles devait être marquée des initiales de son maître et recevoir l'anneau de soumission. Quant à la deuxième elle était excitée par le cours que nous allions
recevoir le matin. Je n'avais aucune idée de cet enseignement dont mon maître ne m'avait pas parlé.

Je me levai et suivis les jeunes filles qui me conduisirent dans la salle d'eau. On me fit à nouveau la toilette et mes deux compagnes chuchotaient et riaient en me voyant gênée. Puis nous nous dirigeâmes vers une pièce où nous attendait un petit déjeuner.

A cette occasion je vis la maîtresse du donjon et la reconnus. C'était elle qui me tenait en laisse la veille. Assise à notre table elle nous fit part de l'emploi du temps de la journée. Le matin les postulantes et invitées restaient entre elles pour s'occuper de leur corps, le parer au mieux et assister à un petit cours, différent chaque jour. L'après-midi était consacré aux maîtres et invités masculin. La gent féminine devait être à leur totale disposition. Quelquefois il y avait l'après-midi une présentation (comme ce fut le cas pour moi la veille), un marquage au fer, une punition ou le sacrement d'une soumise.

Mon maître avait bien choisi mes jours de visite au donjon. J'allais pouvoir assister à deux séances spéciales. Une douce chaleur commençait à envahir mon bas-ventre.

Lorsque le petit déjeuner fut achevé, je suivis toutes ces femmes jusqu'à la salle d'eau. Après nous être dévêtues nous nous dirigeâmes dans une pièce surchauffée où nous restâmes une demie-heure, puis à nouveau dans la salle d'eau pour nous rafraîchir. Toujours nues, deux par deux, les femmes
s'allongèrent sur une table comme celles que l'on trouve chez les gynécologues. Les cuisses bien écartées, les jambes relevées, sexe et anus étaient ainsi présentés. Je me demandais la raison de cette position pas très élégante, ni agréable lorsque je compris. Deux femmes habillées
tenaient à la main une petite bassine ainsi que divers objets pour la toilette intime (rasoir, ciseaux, cire, adoucissant...). En effet les sexes devaient être nets à 100 % (intérieur comme extérieur). Lorsque je sentis deux doigts inspecter ma vulve, j'eus un soubresaut d'appréhension qui se
transforma très vite en désir . Puis les doigts sortirent afin d'inspecter la deuxième cavité. Comme cette dernière était propre, j'eus droit à un traitement de faveur : un doigt huilé contourna délicatement la rosette, l'excitant , puis glissa facilement à l'intérieur.  Je sentais le doigt entrer et sortir, aller toujours plus loin dans son exploration. Je commençais à haleter tellement c'était bon. Hélas ce plaisir s'arrêta trop tôt à mon goût.

Lorsque nous fûmes toutes d'une propreté exemplaire, la maîtresse fit à nouveau son apparition. C'est elle qui devait nous dispenser le cours matinal.

Elle nous divisa en deux groupes : celles qui allaient s'exercer et celles qui allaient noter. Elle me fit prendre place dans le premier groupe.

La maîtresse nous indiqua qu'on allait travailler la langue : la  durcir, l'assouplir afin qu'elle serve au maximum au plaisir des messieurs.

Chacune suivit exactement les recommandations de la maîtresse. Sortir la langue, la faire tournoyer, creuser.... des tas de petits exercices que je découvris.

Puis vint le moment de mettre en application notre travail. Les femmes qui composaient le deuxième groupe, montèrent, , chacune à leur tour, sur la table. Penchées en avant, les fesses rebondies, les mains écartant au maximum les deux lobes, elles attendaient qu'on vienne les lécher.

Je fus la première à m'approcher de la cible. Ma langue vint caresser la rosette, et à force de poussées, se fraya un chemin dans l'entrée étroite. Pendant que je m'activais la femme qui m'offrait son anus gémissait . Au bout de dix minutes la maîtresse frappa des mains pour me signaler la fin
de ma prestation. Elle me dit que ce n'était pas mal mais que je devais améliorer ma technique. Une autre femme vint remplacer celle que j'avais léché et une autre prit ma place. A peine cinq minutes que ma remplaçante s'activait, que les gémissements allaient crescendo. Un cri de plaisir
déclencha un tonnerre d'applaudissements. Heureusement que mon maître n'assistait pas à la scène, car j'aurais eu honte de n'être pas à la hauteur. Je me promis intérieurement de travailler pour combler cette lacune.

La matinée s'achevait. Après un léger déjeuner nous nous rendîmes dans la grande salle où j'avais été présentée la veille.

La maîtresse m'avait pris à part en fin de matinée pour m'expliquer que je ne serai que spectatrice l'après-midi. Je me contenterai de servir les collations.

La grande salle avait été aménagée pour une circonstance particulière :  le marquage au fer et l'anneau de soumission. Aucune présentation n'était prévue.

La gent masculine fit son entrée. Hier je n'avais vu et senti que des sexes forcer ma bouche et mon cul et aucun visage ne me paru familier. J'en cherchais pourtant un qui n'était pas encore là.

Après avoir servi quelques collations, je prenai place à côté des autres femmes ; debout, près du mur droit, de façon à nous confondre avec la tapisserie.

La maîtresse conduisit la jeune fille qui ce matin était toute joyeuse, près de son maître. Celui-ci se leva, prit la chaîne en main et amena sa soumise au milieu de la pièce. Il lui ôta sa robe et l'attacha aux deux
piliers qui servaient à cette initiation. Elle était écartelée, en croix, poignets et chevilles liés. Comme elle l'avait souhaité, on lui mit un bandeau sur les yeux et son maître la bâillonna puis retourna s'asseoir.

Deux serviteurs amenèrent un récipient sur pied contenant bois et charbon ainsi qu'une tige en fer. Le feu fut allumé et la tige posée sur le brasier.

Lorsque la tige devint incandescente, le maître s'approcha de sa soumise, ôta son bandeau et se mit à lui parler doucement à l'oreille.

Un des deux serviteurs s'approcha de la soumise et appliqua la tige à l'intérieur d'une cuisse. L'odeur de chair brûlée me donna la nausée et je fermai les yeux. Lorsque je les rouvris, je vis des larmes couler le long du visage de la jeune femme ; le maître la caressait tendrement. Il semblait très ému.

Le deuxième serviteur s'agenouilla aux pieds de la soumise pour effectuer le piercing. L'opération fut rapide et certainement indolore car la soumise était radieuse ; son maître était toujours à ses côtés. Lorsque le serviteur se releva, le maître vint observer le travail effectué. Il écarta les lèvres du sexe de sa soumise et nous offrit la vue d'un anneau posé sur une petite lèvre. J'étais médusée. Je cherchai du regard mon maître. Je le vis. Nos regards fusionnèrent ; ce fut si intense que le temps sembla
s'arrêter.

Je sortis de ma torpeur au bruit des applaudissements. On détacha la jeune femme. La maîtresse du donjon s'approcha d'elle et lui ôta la chaîne. Maintenant qu'elle portait les initiales de son maître à l'intérieur de sa cuisse et l'anneau de soumission elle n'avait plus besoin de chaîne. Par
contre le collier resta à son cou. Son maître enveloppa sa soumise d'une longue cape pour cacher sa nudité et la conduisit dans une autre pièce. Elle en ressortit quelques minutes après, habillée et souriante. Son maître s'assit sur un fauteuil et elle s'agenouilla à ses pieds, sa tête reposant
sur les genoux de son protecteur.

Je continuai mon service mais j'étais ailleurs. Mon maître ne me quittait pas des yeux ; j'en déduisis que nous pensions la même chose.

Puis, il me fit signe de venir près de lui et me murmura qu'il était temps pour nous de quitter le donjon. La maîtresse m'accompagna dans une pièce où je me changeai. Je rejoignis mon maître qui m'attendait dans le hall. Il prit congé de notre hôtesse en la remerciant. Elle lui dit qu'il serait bon que je reste plus longtemps lors d'une prochaine visite.

Le voyage du retour me parut irréel. Ma tête reposait contre l'épaule de mon maître. Il me prit la main qu'il posa sur le bas de son pantalon ; je sentis un renflement dur plein de promesses...
Par Doggy - Publié dans : Récits
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