Concours

Elle et Moi

Samedi 29 avril 6 29 /04 /Avr 14:23

C'est un matin. J'ai donné rendez-vous à Doggy au buffet de la gare avec des instructions précises. Je me suis installé sur une banquette avec vue imprenable sur la salle. A 9h00 précise, elle pousse la porte, jette un coup d'oeil, croise mon regard et baisse aussitôt les yeux. Elle va s'assoir à une table libre située le plus possible en face de moi. Personne parmi les clients ne semble l'avoir remarquée. Sa jupe, comme je le lui ai ordonné par mail la veille au soir, est courte mais assez ample. Suffisemment en tout cas pour qu'elle la relève avant de poser son cul nu sur sa chaise et, qu'une fois assise, elle puisse écarter les cuisses. De là où je suis, je n'en perds pas une tout en faisant semblant de me prendre la tête avec mon notepad. J'ai une vue imprenable sur sa chatte rasée. Il me semble qu'elle est déjà luisante. En revanche, impossible de distinguer si, sous son chemisier délicatement translucide et largement échancré, elle a les seins libres. La poitrine de ma chienne est imposante et lourde. Je sais la difficulté qu'elle éprouve lorsque ses seins ne sont pas soutenus. Mais si elle a manqué à ses obligations, ce sera une occasion supplémentaire de lui infliger une punition. Elle le sait. Moi aussi.

Le garçon vient lui prendre la commande. Il ne semble pas avoir remarqué qu'elle a les seins nus ni même qu'elle porte son collier de chienne autour du cou. Malgré le bruit ambiant (dont cette foutue télé qui diffuse des clips en boucle) j'entends ma soumise commander un café. Nulle émotion dans sa voix. Aucun regard vers moi. Elle attend. Semble visiblement soucieuse de faire plaisir au Maître en écartant d'avantage ses cuisses sous la table.

Lorsque le garçon revient avec son plateau et comme je le lui ai ordonné, Doggy prend son sac sur la banquette, l'ouvre. Le garçon, plateau en main, attend à côté d'elle qu'elle rêgle son petit noir. Une fois le sac ouvert, il lui faut trouver son porte monnaie, enfoui tout au fond du fatras de son sac. Mais c'est le sac de Doggy, ma soumise. Alors, tout en fouillant la grande poche, elle sort ses accessoires et les pose ostensiblement, sur la table. Un inventer à la pervers : un tube de gel lubrifiant, une paire de menottes, un vibro masseur, une petite culotte, un plug anal... enfin le porte monnaie. Elle l'ouvre et paye. Le garçon reste impassible mais son regard a changé en découvrant le bric à branle de ma chienne.

Il rend la monnaie avec le rouge aux joues. Doggy le remercie et range son attirail de salope lentement. Elle range tout... sauf son plug et le slip. Se lève et se rend aux toilettes, l'objet en main, la dentelle dans l'autre. Aucun client ne fait attention. Mais le serveur la suit du regard. J'espère qu'il va aller la rejoindre ou tenter de la matter mais derrière le comptoir la patronne lui fait signe qu'il y a du monde en terrasse. Il repart avec son plateau, je lis un rien de déception lorsqu'il passe devant ma table.

Doggy revient, marchant un peu difficilement. Cette fois, je me rends compte qu'un couple, installé sur la banquette à ma droite, regarde Doggy et pouffe de rire. Ils sont jeunes, le garçon a passé la main sur l'épaule de sa copine et ses doigts semble chercher à lui caresser le haut des seins. J'aurai du les repérer plus tôt ces deux tourtereaux : j'ai le sentiment qu'ils ont repéré Doggy depuis son entrée et non rien perdu de son manège obscène.

Doggy prend ses affaires et quitte le buffet de la gare. Le couple de jeune accompagne le déhanchement de sa croupe d'un regard brûlant. Je m'allume une cigarette me lève et quitte moi aussi l'établissement. Dehors, le garçon est en train de baragouiner anglais avec un groupe de touristes fraîchement débarqué d'un TGV. Il s'interrompt dans sa revisitation de la méthode Assimil lorsqu'il voit Doggy sortir du Buffet et marcher en direction du parking souterrain. Lorsque je passe devant lui il semble obnubilé par le cul de ma chienne. Je lui fais un sourire, lui dit aurevoir et lui adresse un clin d'oeil qu'il ne comprend pas... Sauf lorsqu'il s'aperçoit que je file à l'arrière train de la pute.

Je prends mon temps pour descendre au parking. Doggy m'attend dans les escaliers qui sentent l'urine et le béton froid. Je la prends par son collier de chienne en tirant dessus d'un coup sec et lui fourre ma langue dans sa bouche. Elle suffoque sous mon baiser et se met à trembler car pendant que ma langue lui fourrage la glotte j'ai sorti un de ses nibards du chemisier (c'est bien, elle m'a obéi, n'avait pas de soutif) et je lui écrase mon clop sur le haut du sein. Elle se pâme sous le baiser et la brûlure. Je sais qu'elle va en vouloir d'avantage mais je n'ai pas le temps. Je la retourne violement contre le mur, lui fais écarter les jambes et plaque ma main sous sa jupe. Sous la culotte qu'elle est allée mettre aux toilettes, je sens le plug bien enfoncé dans son petit trou. Je passe ma main sous son slip et, comme pour vérifier que le plug est bien ancré dans ses entrailles, je joue un instant avec : le sors, le rentre, le tourne. Doggy n'en peut plus, prête à exploser dans l'escalier. Je lui fiche une sévère claque sur le fion qui la fait sursauter et pénétrer le plug encore plus loin et l'invite à descendre jusqu'au niveau -2.

Arrivée à la voiture, elle s'installe au volant. La portière ouverte, je reste debout devant elle et ouvre ma braguette. A chaque fois qu'elle voit mon sexe, Doggy ne peut s'empêcher d'être émue. Comme je le lui ai précisé dans mes instructions, pas question qu'elle me taille une pipe ce matin. En bonne chienne, lècher devrait lui suffire. Elle s'applique donc à passer sa langue sur mon gland, ma hampe par petits coups rapides puis plus insistants. J'ai baissé mon jean et mon boxer sur les genoux et d'une main, lui présente mes couilles. Elle les lêche et le bout de sa langue, je le sais, voudrait se glisser au-delà, vers mon anus. Doggy sait divinement me faire le cul. Mais elle n'y a pas droit ce matin. Pendant qu'elle s'occupe de mes bourses, j'ai pris la chose en main et m'active sur mon manche. Le premier jet de foutre lui arrive dans les cheveux. Elle relève la tête pour s'en prendre plein la gueule. Je lui offre deux trois giclées sur le visage et dirige les derniers flots de sperme sur son corsage, à la hauteur de la brûlure que je viens de lui faire. Le haut du sein marqué d'un cercle brun, auréolé de cendre et arrosé de foutre, le sperme dégoulinant de son visage et parsemant de filaments blanchâtres sa coiffure, un plug enfoncé dans le cul je prends congé de ma soumise qui me remercie. Avant de la quitter je lui fais promettre de ne pas se nettoyer avant de retourner à son travail. Et c'est ainsi, soumise et fière de l'être que my slave, ce matin là, est allée au bureau.

Par Le Maitre - Publié dans : Elle et Moi
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Lundi 26 décembre 1 26 /12 /Déc 12:33
Please allow me to introduce myself
I’m a man of wealth and taste
I’ve been around for a long, long year
Stole many a man’s soul and faith
And I was ’round when jesus christ
Had his moment of doubt and pain
Made damn sure that pilate
Washed his hands and sealed his fate
Pleased to meet you
Hope you guess my name
But what’s puzzling you
Is the nature of my game
I stuck around st. petersburg
When I saw it was a time for a change
Killed the czar and his ministers
Anastasia screamed in vain
I rode a tank
Held a general’s rank
When the blitzkrieg raged
And the bodies stank
Pleased to meet you
Hope you guess my name, oh yeah
Ah, what’s puzzling you
Is the nature of my game, oh yeah
I watched with glee
While your kings and queens
Fought for ten decades
For the gods they made
I shouted out,
Who killed the kennedys?
When after all
It was you and me
Let me please introduce myself
I’m a man of wealth and taste
And I laid traps for troubadours
Who get killed before they reached bombay
Pleased to meet you
Hope you guessed my name, oh yeah
But what’s puzzling you
Is the nature of my game, oh yeah, get down, baby
Pleased to meet you
Hope you guessed my name, oh yeah
But what’s confusing you
Is just the nature of my game
Just as every cop is a criminal
And all the sinners saints
As heads is tails
Just call me lucifer
’cause I’m in need of some restraint
So if you meet me
Have some courtesy
Have some sympathy, and some taste
Use all your well-learned politesse
Or I’ll lay your soul to waste, um yeah
Pleased to meet you
Hope you guessed my name, um yeah
But what’s puzzling you
Is the nature of my game, um mean it, get down
Woo, who
Oh yeah, get on down
Oh yeah
Oh yeah!
Tell me baby, what’s my name
Tell me honey, can ya guess my name
Tell me baby, what’s my name
I tell you one time, you’re to blame
Ooo, who
Ooo, who
Ooo, who
Ooo, who, who
Ooo, who, who
Ooo, who, who
Ooo, who, who
Oh, yeah
What’s me name
Tell me, baby, what’s my name
Tell me, sweetie, what’s my name
Ooo, who, who
Ooo, who, who
Ooo, who, who
Ooo, who, who
Ooo, who, who
Ooo, who, who
Ooo, who, who
Oh, yeah

Par Le Maitre - Publié dans : Elle et Moi
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Jeudi 22 décembre 4 22 /12 /Déc 23:05

J'ai préparé mon cadeau de Noel pour ma chienne : un séjour à la campagne dans une ferme aménagée. Il y aura là non pas le père Noel mais quelques pères fouettards qui, je l'espère apprécierons la docilité de ma soumise. Il la trouveront à genoux, au pied du sapin, le 25 au matin.

Et comme tous les gamins ils n'auront qu'une hâte : ouvrir le paquet, battre des mains... et l'essayer sur le champs.

Je veillerais à ce qu'ils ne cassent pas trop leur jouet tout neuf. J'ai gardé la garantie et la notice. Au cas ou...

 

Je pense que ma soumise aura a coeur de raconter cette journée du 25 avec force détails pour vous en faire profiter. Je vais marquer sur sa fesse gauche "Noel" et sur celle de droite "Jour de l'an". Ainsi on pourra plus facilement lui rendre visite... entre les fêtes !

Par Le Maitre - Publié dans : Elle et Moi
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Lundi 12 décembre 1 12 /12 /Déc 00:23

C'est l'inspection de service. Doggy est allongée, entièrement nue sur le lit cage, les poignets et chevilles attachés aux montants du lit. Le Maitre inspecte tout. Il vérifie l'attache du collier qu'elle porte autour du cou, les pinces aux tétons. Il se penche et passe sa main entre les cuisses de sa soumise. Il la veut totalement épilée et rasée. S'assure qu'aucun poil ou aspérité pileuse ne vient irriter la caresse qu'il prodigue. Tant sur les grandes lèvres que sur le mont de Vénus. Il glisse un doigt plus bas, encore un peu plus loin. La raie doit être parfaitement lisse, pour que son membre y glisse sans s'irriter, pour que ce sombre vallon puisse se transformer en canyon au fond duquel la cascade de foutre s'écoule lentement.

- C'est bien, dit-il. Ta moule est parfaite. On dirait un petit abricot...

Le mot le fait sourire. Il se dirige vers la table basse sur laquelle est posée une coupe de fruits. Des abricots, justement. Il en prend un, le fait tourner entre ses doigts, le hume... puis revient vers sa soumise.

- Voyons si la comparaison est flateuse...

Il glisse le fruit à l'orée de la fente de sa chienne. Pousse un peu. Le fruit entre tout entier car la salope mouille depuis tout à l'heure.

- Bien, dit-il satisfait. Voyons-en un autre...

Le deuxième abricot vient rejoindre le premier. La vulve de la chienne s'enfle. Elle ondule du bassin et se contracte lorsqu'elle voit la main du Maître enfourner un troisième fruit dans sa chatte.

Il la laisse ainsi un bon bout de temps. Elle fait marcher tous ses muscles internes pour se masturber avec les trois abricots qui pataugent dans le jus de son intimité lorsqu'on sonne à la porte.

Le Maître va ouvrir.

Elle entend la conversation :

- Bonjour, dit une voix un peu rustre. C'est moi le livreur de fruits et de légumes. C'est vous qui avez commendez trois aubergines et deux concombres ?

- Oui, dit le Maître. C'est pour farcir !

Par Le Maitre - Publié dans : Elle et Moi
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Mercredi 7 décembre 3 07 /12 /Déc 11:15

Concrétiser les liens qui me lient à ma soumise. Doggy, attachée, aveuglée par un après-midi de printemps. Elle attend, bondagée, que vienne la caresse des lanières de cuir sur sa peau, elle espère que la voix du Maître fouettera encore plus son imagination que le martinet, la cravache ou la ceinture.

Elle coule déjà, entre ses cuisses ouvertes et le bout de ses seins est aussi sensible qu'une corde de guitare. Elle se prépare à vibrer, elle vibre déjà, de tout le grain de sa peau. Je rajuste un instant les liens qui la lient à moi. Ce ne sont pas mes mains qui assurent les noeuds, c'est notre communion dans le désir et notre volonté de partager l'instant où les corps chantent, explosent et se lient, justement, bien au-delà des liens qui la soumettent. En cet instant, personne ne peut voir la couture qui nous joint. C'est là toute la richesse de notre relation

Par Le Maitre - Publié dans : Elle et Moi
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