C'est un matin. J'ai donné rendez-vous à Doggy au buffet de la gare avec des instructions précises. Je me suis installé sur une banquette avec vue imprenable sur la salle. A 9h00 précise, elle pousse la porte, jette un coup d'oeil, croise mon regard et baisse aussitôt les yeux. Elle va s'assoir à une table libre située le plus possible en face de moi. Personne parmi les clients ne semble l'avoir remarquée. Sa jupe, comme je le lui ai ordonné par mail la veille au soir, est courte mais assez ample. Suffisemment en tout cas pour qu'elle la relève avant de poser son cul nu sur sa chaise et, qu'une fois assise, elle puisse écarter les cuisses. De là où je suis, je n'en perds pas une tout en faisant semblant de me prendre la tête avec mon notepad. J'ai une vue imprenable sur sa chatte rasée. Il me semble qu'elle est déjà luisante. En revanche, impossible de distinguer si, sous son chemisier délicatement translucide et largement échancré, elle a les seins libres. La poitrine de ma chienne est imposante et lourde. Je sais la difficulté qu'elle éprouve lorsque ses seins ne sont pas soutenus. Mais si elle a manqué à ses obligations, ce sera une occasion supplémentaire de lui infliger une punition. Elle le sait. Moi aussi.
Le garçon vient lui prendre la commande. Il ne semble pas avoir remarqué qu'elle a les seins nus ni même qu'elle porte son collier de chienne autour du cou. Malgré le bruit ambiant (dont cette foutue télé qui diffuse des clips en boucle) j'entends ma soumise commander un café. Nulle émotion dans sa voix. Aucun regard vers moi. Elle attend. Semble visiblement soucieuse de faire plaisir au Maître en écartant d'avantage ses cuisses sous la table.
Lorsque le garçon revient avec son plateau et comme je le lui ai ordonné, Doggy prend son sac sur la banquette, l'ouvre. Le garçon, plateau en main, attend à côté d'elle qu'elle rêgle son petit noir. Une fois le sac ouvert, il lui faut trouver son porte monnaie, enfoui tout au fond du fatras de son sac. Mais c'est le sac de Doggy, ma soumise. Alors, tout en fouillant la grande poche, elle sort ses accessoires et les pose ostensiblement, sur la table. Un inventer à la pervers : un tube de gel lubrifiant, une paire de menottes, un vibro masseur, une petite culotte, un plug anal... enfin le porte monnaie. Elle l'ouvre et paye. Le garçon reste impassible mais son regard a changé en découvrant le bric à branle de ma chienne.
Il rend la monnaie avec le rouge aux joues. Doggy le remercie et range son attirail de salope lentement. Elle range tout... sauf son plug et le slip. Se lève et se rend aux toilettes, l'objet en main, la dentelle dans l'autre. Aucun client ne fait attention. Mais le serveur la suit du regard. J'espère qu'il va aller la rejoindre ou tenter de la matter mais derrière le comptoir la patronne lui fait signe qu'il y a du monde en terrasse. Il repart avec son plateau, je lis un rien de déception lorsqu'il passe devant ma table.
Doggy revient, marchant un peu difficilement. Cette fois, je me rends compte qu'un couple, installé sur la banquette à ma droite, regarde Doggy et pouffe de rire. Ils sont jeunes, le garçon a passé la main sur l'épaule de sa copine et ses doigts semble chercher à lui caresser le haut des seins. J'aurai du les repérer plus tôt ces deux tourtereaux : j'ai le sentiment qu'ils ont repéré Doggy depuis son entrée et non rien perdu de son manège obscène.
Doggy prend ses affaires et quitte le buffet de la gare. Le couple de jeune accompagne le déhanchement de sa croupe d'un regard brûlant. Je m'allume une cigarette me lève et quitte moi aussi l'établissement. Dehors, le garçon est en train de baragouiner anglais avec un groupe de touristes fraîchement débarqué d'un TGV. Il s'interrompt dans sa revisitation de la méthode Assimil lorsqu'il voit Doggy sortir du Buffet et marcher en direction du parking souterrain. Lorsque je passe devant lui il semble obnubilé par le cul de ma chienne. Je lui fais un sourire, lui dit aurevoir et lui adresse un clin d'oeil qu'il ne comprend pas... Sauf lorsqu'il s'aperçoit que je file à l'arrière train de la pute.
Je prends mon temps pour descendre au parking. Doggy m'attend dans les escaliers qui sentent l'urine et le béton froid. Je la prends par son collier de chienne en tirant dessus d'un coup sec et lui fourre ma langue dans sa bouche. Elle suffoque sous mon baiser et se met à trembler car pendant que ma langue lui fourrage la glotte j'ai sorti un de ses nibards du chemisier (c'est bien, elle m'a obéi, n'avait pas de soutif) et je lui écrase mon clop sur le haut du sein. Elle se pâme sous le baiser et la brûlure. Je sais qu'elle va en vouloir d'avantage mais je n'ai pas le temps. Je la retourne violement contre le mur, lui fais écarter les jambes et plaque ma main sous sa jupe. Sous la culotte qu'elle est allée mettre aux toilettes, je sens le plug bien enfoncé dans son petit trou. Je passe ma main sous son slip et, comme pour vérifier que le plug est bien ancré dans ses entrailles, je joue un instant avec : le sors, le rentre, le tourne. Doggy n'en peut plus, prête à exploser dans l'escalier. Je lui fiche une sévère claque sur le fion qui la fait sursauter et pénétrer le plug encore plus loin et l'invite à descendre jusqu'au niveau -2.
Arrivée à la voiture, elle s'installe au volant. La portière ouverte, je reste debout devant elle et ouvre ma braguette. A chaque fois qu'elle voit mon sexe, Doggy ne peut s'empêcher d'être émue. Comme je le lui ai précisé dans mes instructions, pas question qu'elle me taille une pipe ce matin. En bonne chienne, lècher devrait lui suffire. Elle s'applique donc à passer sa langue sur mon gland, ma hampe par petits coups rapides puis plus insistants. J'ai baissé mon jean et mon boxer sur les genoux et d'une main, lui présente mes couilles. Elle les lêche et le bout de sa langue, je le sais, voudrait se glisser au-delà, vers mon anus. Doggy sait divinement me faire le cul. Mais elle n'y a pas droit ce matin. Pendant qu'elle s'occupe de mes bourses, j'ai pris la chose en main et m'active sur mon manche. Le premier jet de foutre lui arrive dans les cheveux. Elle relève la tête pour s'en prendre plein la gueule. Je lui offre deux trois giclées sur le visage et dirige les derniers flots de sperme sur son corsage, à la hauteur de la brûlure que je viens de lui faire. Le haut du sein marqué d'un cercle brun, auréolé de cendre et arrosé de foutre, le sperme dégoulinant de son visage et parsemant de filaments blanchâtres sa coiffure, un plug enfoncé dans le cul je prends congé de ma soumise qui me remercie. Avant de la quitter je lui fais promettre de ne pas se nettoyer avant de retourner à son travail. Et c'est ainsi, soumise et fière de l'être que my slave, ce matin là, est allée au bureau.
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