Concours

Samedi 26 novembre 6 26 /11 /Nov 14:54

Doggy, à la demande de son maître, reçoit chez elle des connaissances de ce dernier.

Elle est habillée d’une longue robe fendue à droite et à gauche et très échancrée. Elle est nue sous l’étoffe. Ses seins sont à la vue de tous ; elle a orné chaque téton de pinces. Elle porte des talons très hauts ; un bracelet métallique encercle les chevilles reliées entre elles par une
courte chaîne qui oblige Doggy à faire de tous petits pas lorsqu’elle marche. Un collier de chien autour du cou, relié à une longue chaîne métallique tenue par son maître, lui sert de parure.

Lorsque les invités arrivent, le maître bande les yeux de sa chienne.

Tenue en laisse, aveugle, elle se sent perdue. Son maître sent le désarroi de sa soumise et lui murmure à l’oreille des mots rassurants.

Elle entend des pas s’approcher, des frôlements de tissu, mais aucun son. Des verres tintent ; son maître approche une coupe de champagne près de sa bouche et la fait boire délicatement. Quelques gouttes s’échappent de ses lèvres ; son maître les récupère de sa langue. Aussitôt une chaleur
l’envahit.

Maintenant elle renifle des odeurs étrangères, des souffles tièdes contre sa nuque. Des mains caressent ses seins, soulèvent sa robe et flattent sa croupe.

Son maître la penche en avant sur une table et relève sa robe. Elle sait que tous les regard sont posés sur ses fesses. Le temps semble être arrêté lorsqu’un coup de fouet l’arrache à sa torpeur. Le coup est sec, suivi de plusieurs autres qui la font gémir. Ce n’est pas son maître qui la marque, elle en est sûre. Elle l’appelle en son for intérieur ; il l’entend car il vient lui caresser les cheveux et le visage pendant qu’elle est fouettée.
Alors, pour honorer son maître elle se retient de crier ou de pleurer.

Les coups s’arrêtent. On lui écarte les cuisses, les jambes et des mains audacieuses fouillent sa vulve.

Elle imagine qu’elle va être prise par plusieurs queues mais rien ne se passe. Son maître la relève délicatement et l’oblige à se mettre à genoux.

Son visage est à la hauteur du renflement reconnu. Le sexe orgueilleux de son homme caresse son nez, ses pommettes, ses lèvres. Elle sait qu’on la regarde et elle en est fière. Elle ouvre sa bouche et accueille la “ bête ”. Sa langue va et vient, descend, remonte, contourne le gland… La sève est
prête à sortir. Son maître s’enfonce au fond de la gorge de Doggy qui suffoque. La queue sort aussitôt : un jet puissant et tiède macule le visage de Doggy. Des applaudissements fusent.

Le maître relève Doggy et la fait marcher pour la montrer à tous les invités. Puis il la fait s’asseoir. Elle ne voit toujours pas ce qui se passe autour d’elle.

Des gémissements, des râles lui font comprendre que des corps s’entremêlent. Elle ne sait pas où est son maître et souffre en l’imaginant dans d’autres bras que les siens.

Une heure ou deux après (elle n’a pas conscience de l’heure) seuls le silence et la fraîcheur de cette nuit d’été l’entourent.

Son maître tire sur la laisse pour que Doggy se lève et l’approche de la piscine.

Il la fait entrer ainsi dans l’eau, puis la fait sortir.

Il détache les bracelets et chaîne qui entravaient les chevilles, ôte les pinces sur les tétons meurtris et couche sa soumise dans l’herbe. Il l’embrasse fougueusement et lui fait l’amour si sauvagement qu’elle
comprend qu’il lui a été fidèle. Elle jouit en même temps que lui et s’endort dans ses bras.

Par Doggy - Publié dans : Récits
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Commentaires

L'histoire est plaisante et le modèle sur la photographie intéressant. Prêtez-vous votre esclave quelquefois ? si oui : à un seul maître, à plusieurs ? Participez-vous ou êtes vous spectateur ? J'ai moi aussi une esclave que je prête à disposition. Un échange possible ?
commentaire n° :1 posté par : DivinMarquis le: 27/11/2005 à 20h27
J'ai lu votre commentaire. Mon esclave est une femme mûre mais débutante, aussi il est un peu trop tôt pour envisager de la prêter. Par contre j'envisage de l'initier au plaisir lesbien. Nous pourrions en discuter sur ma messagerie : gamiani8313@aol.com
commentaire n° :2 posté par : Doggy's Lord le: 27/11/2005 à 21h21
Hier soir j'ai regardé plusieurs blogs, surtout ceux qui parlaient de soumission. Les photographies de certains blogs m'ont intéressée ; celles représentant des bites m'ont laissé indifférente, car le sexe de mon maître ferait pâlir de jalousie tous les mâles en rut. Un jour j'écrirai sur lui car il en vaut réellement la peine. Par contre j'ai salivé et bavé d'envie devant des photographies de culs féminins. Je ne sais pas pourquoi je suis tant attirée par ce petit trou. Tous ces culs défoncés, éclatés m'ont mis en transe. Tantôt j'avais envie d'enfouir mes doigts, voire ma main, dans ces culs offerts, tantôt j'imaginais la queue de mon maître remplissant jusqu'aux entrailles ces orifices béants. J'ai dû apaiser le désir qui était en moi et une seule caresse de ma main sur mon clito a suffit à faire éclater un torrent de plaisir. Bien sûr j'ai crié (sous la couverture pour ne pas être entendue) le prénom du maître.
Ce matin je me suis confessée et pour punition, il m'a rejointe à mon travail, m'a allongée sur le bureau et ôtée ma culotte. Devant ma collègue médusée il m'a administrée une raclée dont j'en garde encore ce soir les marques. Je n'ai pas parlé ni crié. Seuls quelques gémissements se sont échappé de ma gorge.
Ma collègue est sortie de la pièce au moment où mon maître dégraffait sa braguette. C'est bien dommage car je suis sûre qu'elle aurait été émerveillée devant la beauté de ce sexe.
Mon maître en a profité pour m'enculer si fort que je n'ai pu retenir quelques gouttes d'urine. Il m'a obligée à me mettre à quatre pates pour lécher les gouttes sur le sol. Puis, il a à nouveau forcé l'entrée étroite de mes reins et s'est à nouveau retiré pour me mettre sa queue dans la bouche. Lorsqu'il a senti le plaisir poindre, il s'est retiré pour juter sur mon visage. C'est à ce moment là que ma collègue est rentrée. Ses joues ont viré au rouge et je ne sais pas si c'est la vue de mon visage maculé qui l'a fait rougir. Elle ne m'en a pas parlé mais je crois qu'elle a dû apercevoir la queue majestueuse. Lorsque le maître nous a quittées, je suis allée nettoyer les traces du plaisir. Peut être que ma collègue aurait aimé les goûter ?...
commentaire n° :3 posté par : Doggy le: 28/11/2005 à 19h13

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