Concours

Lundi 12 décembre 1 12 /12 /Déc 00:23

C'est l'inspection de service. Doggy est allongée, entièrement nue sur le lit cage, les poignets et chevilles attachés aux montants du lit. Le Maitre inspecte tout. Il vérifie l'attache du collier qu'elle porte autour du cou, les pinces aux tétons. Il se penche et passe sa main entre les cuisses de sa soumise. Il la veut totalement épilée et rasée. S'assure qu'aucun poil ou aspérité pileuse ne vient irriter la caresse qu'il prodigue. Tant sur les grandes lèvres que sur le mont de Vénus. Il glisse un doigt plus bas, encore un peu plus loin. La raie doit être parfaitement lisse, pour que son membre y glisse sans s'irriter, pour que ce sombre vallon puisse se transformer en canyon au fond duquel la cascade de foutre s'écoule lentement.

- C'est bien, dit-il. Ta moule est parfaite. On dirait un petit abricot...

Le mot le fait sourire. Il se dirige vers la table basse sur laquelle est posée une coupe de fruits. Des abricots, justement. Il en prend un, le fait tourner entre ses doigts, le hume... puis revient vers sa soumise.

- Voyons si la comparaison est flateuse...

Il glisse le fruit à l'orée de la fente de sa chienne. Pousse un peu. Le fruit entre tout entier car la salope mouille depuis tout à l'heure.

- Bien, dit-il satisfait. Voyons-en un autre...

Le deuxième abricot vient rejoindre le premier. La vulve de la chienne s'enfle. Elle ondule du bassin et se contracte lorsqu'elle voit la main du Maître enfourner un troisième fruit dans sa chatte.

Il la laisse ainsi un bon bout de temps. Elle fait marcher tous ses muscles internes pour se masturber avec les trois abricots qui pataugent dans le jus de son intimité lorsqu'on sonne à la porte.

Le Maître va ouvrir.

Elle entend la conversation :

- Bonjour, dit une voix un peu rustre. C'est moi le livreur de fruits et de légumes. C'est vous qui avez commendez trois aubergines et deux concombres ?

- Oui, dit le Maître. C'est pour farcir !

Par Le Maitre - Publié dans : Elle et Moi
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Samedi 10 décembre 6 10 /12 /Déc 01:20

Déjà un mois, demain, que leurs corps s'étaient retrouvés pour fêter leur premier anniversaire.

Accoudée au balcon, elle était songeuse, mélancolique. Elle regardait au loin, comme tous les jours, espérant apercevoir un nuage de poussière. Un brouhaha la réveilla de sa torpeur. On s'agitait tout autour. Elle leva les yeux et se demanda si elle ne rêvait pas.

Non, ce n'était pas un rêve. Le nuage s'avançait, se dissipait et laissait entrevoir le responsable de sa mélancolie. Elle le reconnu sans difficulté. Il chevauchait en tête, fier, sa lance tenue à la main droite ; son armure étincelait tant qu'elle ferma les yeux.

Son coeur se mit à battre de plus en plus fort, comme s'il allait exploser.

Mais la dame était aussi une femme faite de chair ; une chaleur inonda son bas-ventre, irradiant tout son corps. Elle s'enfuit en courant, descendant les marches comme une enfant avide de voir les cadeaux rapportés par son papa après un voyage.

Ils arrivèrent en même temps.

Alors que des mots dansaient dans sa tête "venez vite, valeureux chevalier, soulever la robe de votre catin ! Prenez votre bouclier pour vous protéger des rayonnements et de la chaleur produits par ma vulve en feu. Ce ne sont pas quelques flammes qui enrayeront votre bravoure; approchez plus près du brasier, si près qu'en vous reconnaissant, il ne sera plus hostile, mais accueillant", rien ne sortit de sa bouche. Devant lui elle redevenait pucelle, toute timide.

Fier, sur son destrier, il ôta son heaume et d'un air distant dit à sa dame : "faites-moi couler un bain, préparez unbon déjeuner et attendez-moi dans votre chambre". Elle acquiesça avec un sourire malicieux. Si la voix de son maître était distante, ses yeux par contre brillaient d'une lueur prometteuse.

Elle le devança pour lui préparer son bain et lui ôter son armure. Mais lorsqu'ils furent seuls, elle ne put résister à la tentation de frotter son corps contre le métal froid. Elle lui demanda la permission. Il lui sourit en guise d'acceptation.

Elle releva jupe et jupons et se frotta impudiquement contre l'armure de son amant. Que c'était bon ! la fraîcheur du métal apaisa le feu qui coulait en elle.

Elle lui donna le bain. Chaque fois que sa main s'égarait vers l'objet de son désir, il la repoussait gentiment. Aucun son ne s'échappait de leurs bouches. Seuls leurs corps et esprits se parlaient.

Elle le laissa déjeuner seul puis se reposer quelques instants. Il allait la rejoindre bientôt dans la chambre.

Elle se mit à nouveau sur le balcon et entendit des rires venir du jardin. Une envie folle de courir, les pieds nus dans l'herbe lui fit oublier que son seigneur allait venir.

Quand il entra dans la chambre vide il eut un sursaut de mécontentement. A quoi jouait-elle ? Ne savait-elle pas que le désir le submergeait lui aussi ? Il s'approcha de la fenêtre et la voyant gambader comme une adolescente, il n'osa l'appeler. Il descendit. Lorsqu'elle le vit, elle s'approcha, tremblante de désir et de peur d'être réprimandée.

Il lui murmura des mots troublants, si doux, mélodieux, que le brasier à peine endormi se réveilla brutalement. Elle sentit qu'elle ne pouvait retenir la lave gluante, abondante, qui s'écoulait lentement le long de ses cuisses.

Il comprit sa gêne et s'en amusa. "Relevez votre jupe, ma chienne, je veux vérifier une chose". Elle lui obéit. Il aperçu le filet qui coulait et se mit à rire. "Allez vous laver et attendez-moi cuisses écartées sur votre couche".

Ah non, elle n'allait pas lui obéir cette fois. Il s'était moqué d'elle. Elle le toisa sans bouger. Les yeux du chevalier se durcirent.

"Vous ne voulez pas être prise comme une reine, je vais vous prendre comme une catin". Il sortit un couteau de la poche de son pantalon et déchira les lacets qui tenaient le corsage de sa maîtresse. Deux obus en sortirent, les tétons durcis prêts à l'attaque. La vue de ces mamelles fut pour lui un déclic. Il sentit sa verge se durcir et réclamer son dû.

Il ordonna à sa maîtresse de se mettre à quatre pattes. Il la troussa violemment. Chaque main vint malaxer les deux hémisphères qui s'ouvrirent pour dévoiler la rosette. Il ne put se contenir davantage.

Son dard s'enfonça d'un coup sec dans le cul affamé. Elle émit un cri aussitôt suivi par un râle de plaisir.

Il la chevaucha peu de temps ; ils jouirent simultanément. Quelques minutes après, il se releva, aida sa maîtresse à faire de même et se dirigèrent vers l'intérieur.

Au passage, il prit une petite branche tombée sur le sol.

"L'apéritif a été consommé très vite. Passons au plat principal. J'espère que vous êtes en forme, car la nuit sera blanche".

Le coeur battant, elle suivit son maître...

Par Doggy - Publié dans : Récits
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Mercredi 7 décembre 3 07 /12 /Déc 11:15

Concrétiser les liens qui me lient à ma soumise. Doggy, attachée, aveuglée par un après-midi de printemps. Elle attend, bondagée, que vienne la caresse des lanières de cuir sur sa peau, elle espère que la voix du Maître fouettera encore plus son imagination que le martinet, la cravache ou la ceinture.

Elle coule déjà, entre ses cuisses ouvertes et le bout de ses seins est aussi sensible qu'une corde de guitare. Elle se prépare à vibrer, elle vibre déjà, de tout le grain de sa peau. Je rajuste un instant les liens qui la lient à moi. Ce ne sont pas mes mains qui assurent les noeuds, c'est notre communion dans le désir et notre volonté de partager l'instant où les corps chantent, explosent et se lient, justement, bien au-delà des liens qui la soumettent. En cet instant, personne ne peut voir la couture qui nous joint. C'est là toute la richesse de notre relation

Par Le Maitre - Publié dans : Elle et Moi
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Lundi 5 décembre 1 05 /12 /Déc 10:34

Il me tarde de retrouver Doggy pour une séance à l'hôtel. Cela fait trop longtemps qu'elle n'a pas reçu le martinet, qu'elle ne s'est pas faite bondager les seins et qu'elle n'a été prise par tous les trous. Se souvient-elle seulement du gout du martinet sur son cul ? Se souvient-elle encore des positions d'attente que son Maître lui a appris ? La numéro 2 ? La numéro 3 ?

Un après-midi, lors d'une de nos séances à l'hotel, je n'avais pas donné d'instructions précises pour l'attente de ma soumise. Doggy avait eu ce jour là une heureuse initiative : celle de m'attendre en me présentant son cul à peine la porte de la chambre franchie. Franchie ? Poussée du pied car, la porte en question n'était pas fermée mais juste entre ouverte, n'importe qui (client, personnel de l'hotel) aurait pu pénétrer avant moi dans la chambre et tomber nez à cul avec ma chienne et commencer à s'en occuper.

Ce jour là, au cours de notre séance, je décidais d'immortaliser Doggy dans la position d'attente qu'elle m'avait offerte. Mais comme nous avions déjà bien entammé la séance c'est les fesses un peu marquées et l'anus occupé par son vibro que je l'ai prise en photo... avant de la prendre d'une autre manière... car l'attente ne vaut que si elle se poursuit par tout ce dont Doggy a rêvé et imaginé en m'attendant...

Par Le Maitre - Publié dans : Elle et Moi
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Samedi 3 décembre 6 03 /12 /Déc 11:16

Elle l’avait rejoint à Paris comme il le lui avait demandé.

Il avait réussi à maîtriser son excitation toute la journée mais il lui tardait que la conférence se termine. De temps en temps il regardait son portable pour vérifier qu’elle n’avait pas eu de contretemps. Un dîner devait clore la conférence et cela le contrariait. D’une part il craignait
qu’elle ne lui en fasse reproche et d’autre part un renflement commençait à pointer son pantalon et il ne souhaitait pas que l’on s’en aperçoive.

Il avertit sa soumise qu’il rentrerait tard et comme il en était contrarié il la punirait.

Pendant le dîner il observait les serveuses et quelques-unes ne lui étaient pas indifférentes. Comment réagirait sa soumise s’il rejoignait l’hôtel accompagné d’une petite soubrette. Cette idée l’amusa et un sourire se dessina sur son visage.

Le dîner terminé, il prit le chemin de l’hôtel sans se presser.

Lorsqu’il arriva dans la chambre la soumise l’attendait en position n° 1 : à force de tirer sur ses tétons ceux-ci s’étaient allongés. Le maître paru satisfait du résultat.

Il s’approcha de sa soumise, lui caressa le visage, mit un doigt dans la bouche entrouverte, puis la gifla d’un coup sec. Elle lui demanda la raison de la gifle ; il lui répondit qu’à cause d’elle il avait bandé pendant la conférence, ce qui avait diminué son attention professionnelle.

Il défit sa braguette, sortit son sexe et s’approcha de la bouche de sa soumise qui l’ouvrit grandement. Un jet de liquide tiède coula le long de sa gorge; la soumise fut à la fois émue et étonnée. Surprise par le goût inconnu et âpre du breuvage, émue car elle était consacrée receveuse royale.

Lorsque la dernière goutte fut avalée, elle nettoya le gland consciencieusement, à tel point que la verge se gonfla et durcit immédiatement.

"Donnez moi à boire votre nectar, maître", dit-elle aussitôt. Il fit semblant de ne pas l’avoir entendu et lui fit signe d’aller sur le lit. Lorsqu’elle fut agenouillée le cul bien positionné, elle ouvrit ses fesses et sentit le gland du maître forcer l’entrée étroite. Elle eût mal lorsqu’il la pénétra mais bien vite une douce chaleur l’envahit. La jouissance les submergea tous les deux.

La soumise demanda à son maître la permission de prendre une douche ; il refusa et lui dit qu’elle devait maintenant accomplir sa punition.
 
Il lui indiqua qu'elle devait sucer les clients de l'hôtel qui en auraient le désir. Elle lui répondit qu'elle serait incapable d'articuler un mot. Qu'à cela ne tienne. Le maître fit une petite pancarte sur laquelle il inscrivit : "je suis une salope qui adore sucer". Il fit deux trous dans la pancarte pour y faire passer une ficelle et accrocha le tout au cou de sa soumise.
 
Cette dernière sortit de la chambre, à quatre pattes, la pancarte autour du cou, et déambula à l'étage.
 
Elle était horriblement gênée et avait peur mais son maître surveillait, sur le pas de la porte.
 
Un homme passa, lu, se mit à rire et rentra dans sa chambre. Un couple fit semblant de ne pas avoir lu et s'engouffra rapidement dans la chambre. Un homme s'arrêta et réfléchit mais s'en alla.
 
Un jeune couple sembla intéressé. L'homme s'approcha du maître et lui demanda s'il s'agissait d'une plaisanterie. Le maître lui répondit que sa chienne adorait faire des pipes et qu'elle était à la disposition de tout le monde. Il fit entrer le couple, ainsi que la chienne dans la chambre.
 
"Pendant que ma chienne vous sucera je baiserai votre amie" dit le maître. La chienne fut soudain très triste mais elle devait obéir.
 
Elle sucea du mieux qu'elle put afin que son maître fut fier d'elle. Lui, il encula si fort la femme qu'elle hurla de plaisir et de douleur.
 
Lorsque le couple les quitta, le maître s'approcha de sa soumise et la caressa  tout en la félicitant. Comme elle avait l'air songeur, il lui dit qu'il avait un cadeau pour elle. Il avait mis un préservatif pour baiser l'inconnue et l'avait gardé dans sa main après l'avoir ôté de son membre.
 
"Regarde, ma chienne, c'est pour toi". Elle ouvrit grand la bouche et avala goulûment  le contenu du préservatif. Elle était aux anges....

Par Doggy - Publié dans : Récits
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