
Il y avait effervescence au château ; le seigneur était attendu, après six mois d’absence. Manon, jeune soubrette était en transe depuis cette nouvelle. Elle n’avait jamais vu le seigneur mais était amoureuse de lui après avoir contemplé un portrait le représentant. Il avait fière allure, un corps élancé, un visage beau mais fermé comme s’il avait quelque secret à cacher.
Manon était belle avec ses vingt ans ; elle avait beaucoup de prétendants mais un seul avait su la séduire : Pierre le gardien de moutons. Il lui avait proposé maintes fois de l’épouser mais Manon n’était pas prête à s’engager. Elle aimait lorsque Pierre l’embrassait mais ne ressentait rien lorsqu’il la faisait sienne.
Ce jour-là elle rêvassait. Comment attirer l’attention du seigneur sur elle ? Entouré de belles dames il ne jetterait jamais un oeil en direction d’une soubrette, si jolie soit-elle. Soudain une idée la fit sourire. Si son visage ne suffisait pas à accrocher la vue de son seigneur une partie de son anatomie ferait certainement l’affaire. Pierre ne cessait de la complimenter sur ses fesses qu’elle avait fort belles. Elle l’autorisait seulement à les regarder. Le soir elle aimait caresser leur contour lorsqu’elle se trouvait nue après s’être baignée. Elle avait en effet la chance de pouvoir prendre un bain chaque fois qu’elle le désirait. Le seigneur était très généreux avec les habitants du château.
Quelquefois elle les admirait dans le reflet que lui projetait l’eau de la rivière. Deux fesses bien bombées. Dommage qu’elles ne servent à rien, pensait-elle.
Elle était encore à sa rêverie lorsque Célestin, le vieil intendant du château, vint la réveiller en lui faisant remarquer qu’elle n’avait pas fini de préparer la chambre du seigneur. Elle lui répondit qu’elle le ferait tantôt. Cette petite n’était pas très obéissante ; il l’avait engagé car il avait bien connu sa maman qui était également en service au château et pour laquelle il avait eu une grande inclination, au point de ne pas prendre femme. Manon était orpheline depuis peu et Célestin lui servait de père, mais elle le rendait fou du fait de son insolence et son manque d’ardeur au labeur.
Célestin lui rappela que le seigneur et ses invités allaient arriver d’ici une heure et qu’elle devait remplir la baignoire du maître afin qu’il puisse se rafraîchir à son arrivée.
Manon lui tira la langue et s’enfuit dans la campagne. Ce en était trop. Décidément cette petite méritait une correction.
Célestin n’était plus très jeune mais il avait gardé un physique dynamique, ce qui lui permit de courir après la fugueuse.
Manon savait que le seigneur emprunterait un certain chemin ; elle le prit donc et simula une chute afin que Célestin la rattrape.
Célestin arriva près de Manon qui riait à gorges déployées. La rage submergea Célestin. Il lui souleva jupe et jupons et commença à la fesser. Les coups pleuvaient mais la diablesse ne demandait pas grâce et continuait à rire. Il augmenta la force de sa main et l’on pouvait voir les fesses roses de Manon virer au rouge écarlate. Célestin s’arrêta un moment essoufflé. Manon entendit le bruit des sabots approcher. Le seigneur n’était plus loin. Elle se mit à crier :
« Au secours. Arrêtez ! Je vous en supplie ! … Pitié ! … Je n’en peux plus ».
Célestin était consterné par ces cris inattendus. Le bruit des sabots se fit plus présent et l’on entendit une voix crier à Célestin :
« Mais que se passe-t-il donc ici ? » C’était le seigneur qui faisait son apparition.
Aussitôt, Manon se cambra de façon à montrer davantage ses fesses. Célestin, aussi rouge que l’étaient les fesses de la demoiselle, s’expliqua. Le seigneur sourit et dit à Manon :
« Si tu n’es pas très obéissante c’est que tu n’as pas été dressée correctement. Je veux que tu me donnes le bain dans une heure et que tu m’expliques pourquoi tu ne veux pas obéir ».
A ce moment-là Manon tourna délicatement son visage vers son seigneur et sourit (elle avait gagné).
Lorsque les chevaux s’éloignèrent, Célestin et Manon rejoignirent le château. Manon s'activa dans la chambre du maître puis l'attendit. Lorsqu'il entra dans la pièce qui était très grande, Manon eut l'impression que tout avait rétréci et elle-même se sentait aussi petite qu'une souris.
Le seigneur s'assit et demanda à Manon de lui ôter bottes et costume de voyage. Elle s'acquitta de sa tâche avec maladresse tant elle était sur un nuage. Lorsqu'il fut nu, il grimpa dans la baignoire et demanda à Manon de le laver. Elle avait déjà vu Pierre nu mais le seigneur était fait différemment. Il était très mince et son sexe paraissait démesuré. La pensée de le sentir en elle lui colora les joues. Le seigneur vit son trouble et pour la mettre à l'aise lui demanda de remonter jupe et jupon, de les attacher à la taille afin que ses fesses "meurtries" puissent être adoucies par l'air frais. Elle s'exécuta promptement et s'approcha du maître pour le laver, mais il refusa. Il demanda à Manon de reculer vers la fenêtre, de se mettre dans la même position que tout à l'heure lorsque Célestin la fessait.
Allongé dans le bain il se délectait du spectacle. Aucune parole ne fut échangée pendant quelques minutes ; puis le seigneur demanda à Manon si elle avait été souvent fessée et ce qu'elle ressentait à ce moment-là. Manon lui répondit que c'était la première fois et que la chaleur provoquée par la fessée avait irradié tout son corps. Le seigneur lui dit que l'on pouvait avoir beaucoup de plaisir à recevoir des punitions corporelles et si elle était obéissante il lui ferait découvrir des mondes inconnus.
Il décida de sortir du bain ; elle vint le sécher puis le suivit jusqu'au lit où il s'assit. A sa demande elle vint près de lui et se mit dans la même position que tout à l'heure.
Le seigneur passa délicatement une main sur les fesses qui avaient perdu un peu de couleur. Un doigt s'insinua délicatement entre les deux globes ; Manon eut un mouvement de recul. Le seigneur lui demanda si elle connaissait le plaisir de la pénétration à cet endroit-là ; elle lui répondit par la négative, étonnée de cette question. Alors le seigneur lui parla doucement en lui demandant de lui faire confiance. Il reprit délicatement son exploration tout en continuant à lui parler. Un doigt vint s'insinuer dans le conduit étroit de Manon :
"Sens-tu Manon mon doigt en toi ? Ferme les yeux et laisse-toi guider par le désir qui va poindre. Je t'ouvre délicatement, je rentre et sors et tu n'as pas mal."
Manon respirait fort et découvrait quelque chose de merveilleux, d'inattendu. Le seigneur remarqua qu'elle mouillait déjà. Il trempa deux doigts dans la vulve de Manon, puis les enfonça doucement dans l'anus.
"Tu vois, Manon, maintenant deux doigts sont en toi ; deux doigts qui écartent bien l'entrée, qui prennent possession de ton abri caché. Aimes-tu cela ? "
- Oui, seigneur, j'aime !"
Maintenant trois doigts vinrent se glisser dans l'initimité de Manon qui haletait comme une chienne. "Veux-tu que j'arrête Manon ?"
- Non, mon seigneur, je vous en prie, continuez ! J’en veux davantage ! Je vous veux, vous !
-Non, ma jolie soubrette ; aujourd'hui tu as fais la connaissance de mes doigts. Ce sont eux qui vont te donner la jouissance ; je ne te ferai mienne physiquement que lorsque tu seras à moi cérébralement".
Manon demanda au seigneur ce que voulait dire "appartenir cérébralement " Il lui répondit : "Lorsque tu mouilleras en pensant à moi, ton esprit m’appartiendra. Je vais maintenant te faire jouir". Il reprit le jeu des " va-et-vient " avec ses trois doigts. Le plaisir fut si fort qu’elle en cria. Le maître retira ses doigts et les présenta à la bouche de Manon qui fit une moue dédaigneuse.
Le seigneur lui dit : "tu dois apprendre à accepter tout ce que je te demande si tu veux connaître des délices inimaginables ". Elle s’exécuta alors puis fit remarquer au seigneur qu’il n’avait pas joui et qu’elle en était triste ; sans doute ne lui plaisait-elle pas.
"Crois-tu que je me serais aussi bien occupé de toi si tes charmes n’avaient pas eu d’effet sur moi ? Regarde mon sexe ! Je vais te montrer à quel point tu as exacerbé mon désir et t’en remercier". Sur ces paroles il se masturba devant la jeune fille ; puis, quand il sentit la jouissance prête à exploser il s’approcha d’elle et déversa sur son visage un jet tiède et blanchâtre.
"Garde sur toi cette marque de mon affection jusqu’à demain. Je veux être seul maintenant. Nous continuerons ton apprentissage demain à la même heure. Je te ferai connaître le plaisir du fouet".
Manon ne dormit guère cette nuit. Elle ne comprenait pas ce plaisir nouveau qu’elle avait eu. Elle n’avait jamais ressenti pareille chose avec Pierre. Elle avait l’impression d’être devenue une grande dame, car elles seules (pensait-elle) avaient la possibilité de ressentir un tel plaisir.
Toute la journée elle s’affaira dans le château mais ses pensées étaient tournées vers le seigneur et la promesse d’une nouvelle expérience.
A l’heure dite elle fut dans la chambre. Il l’attendait debout, un fouet à la main. Lorsqu’elle vit l’objet elle eut un sursaut d’appréhension. Alors, d’une voix douce, il lui expliqua que la punition qu’il allait lui infliger n’en était pas une ; la douleur qu’elle ressentirait se transformerait au fur et à mesure en un plaisir extraordinaire.
Elle s’agenouilla, comme il le lui avait demandé, et baissa la tête. Le seigneur s’approcha, souleva jupe et jupons à l’aide du manche du fouet, puis il recula. Le fouet commença sa danse : des petits coups secs rapprochés, un coup long espacé d’un autre ; Manon serrait les dents pour ne pas crier ; quelques larmes s’échappaient de ses yeux. La douleur n’était pas agréable mais supportable. Le fouet s’arrêta 2, 3 minutes sans qu’une parole ne vienne perturber ces instants magiques, puis reprit de plus belle comme s’il était animé par une main hargneuse. La douleur devint insupportable, Manon cria. Le fouet s’arrêta à nouveau.
A ce moment-là Manon sentit la chaleur de ses fesses remonter tout le long de son corps ; un plaisir inattendu s’éveillait en elle.
Le seigneur se pencha et plongea sa main dans la moiteur de Manon ; la main maculée de mouille fut présentée à la bouche de Manon qui la lécha.
- Veux-tu que j'arrête Manon ?
- Non, mon seigneur ! Continuez à me punir ainsi !
Le maître posa le fouet et prit un martinet. Les lanières caressèrent les deux fesses de Manon qui haletait de plaisir, puis elles commencèrent à claquer sur le cul qui se trémoussait au rythme de la flagellation. Le maître s’arrêta une autre fois et sortit sa verge gonflée par le désir. Martinet dans la main droite et sexe dans la main gauche, il se masturbait en même temps qu’il fouettait Manon. Une jouissance commune les submergea tous deux. La semence jaillit sur le cul meurtri de Manon. Le seigneur demanda à Manon de se retourner vers le grand miroir pour qu’elle puisse contempler le chef d'oeuvre du maître : deux fesses colorées et magnifiquement zébrées, dédicacées par l’artiste.
Il aida Manon à se relever, lui prit son visage et déposa sur ses lèvres un tendre baiser. Elle lui demanda pourquoi il ne la caressait pas. Il lui répondit que chaque coup de martinet ou fouet était la plus troublante des caresses et qu’elle ne devait jamais l’oublier.
"Demain tu ne viendras pas me voir. Je t’enverrai un valet qui te donnera mes consignes."
Le lendemain Manon était à la fois heureuse et triste. Heureuse d’avoir été choisie et éduquée par le seigneur, triste qu’il ne souhaite pas la voir aujourd’hui. Le soir elle attendit dans sa chambre que le valet vienne lui donner les ordres du maître mais personne ne vint frapper à sa porte ; elle allait fondre en larmes lorsqu’un coup sourd contre la porte se fit entendre..
Cyprien, un des valets du seigneur était là. Il entra et dit à Manon qu’il agissait au nom de leur seigneur. Il demande à Manon de s’étendre nue sur la couche et d’écarter les cuisses afin qu’il puisse la pénétrer. Elle refusa, car elle voulait être fidèle à son maître. Cyprien la rassura doucement et lui expliqua que ce n’était pas lui qui lu i ferait l’amour mais bien le seigneur et maître. L’esprit du maître dirigeait, Cyprien agissait et Manon recevait. Il lui expliqua qu’il n’y avait pas de notion d’infidélité si le Maître était présent ou s’il commandait à distance. Elle devra accepter tout ce que le Maître lui demandera, être prise par un ou plusieurs hommes devant lui et même goûter aux sexes de femmes si tel est son désir.
"D’ailleurs, ajouta Cyprien, le maître a dit que tu ne devais pas te refuser à ton amoureux Pierre. Le maître a toujours raison et il agit dans ton intérêt. Ce soir, ma queue va t’enfiler mais c’est celle du maître que tu sentiras en toi".
- Celle du maître ? Je ne l’ai jamaiseu en moi !
- Et bien, ce soir, tu vas la connaître.
Et ce disant, il la chevaucha et la pénétra d’un simple coup de reins. Manon fut ébranlée. Ses yeux étaient fermés et elle voyait le visage du maître penché sur elle.
Quel prodige ! Elle jouit très vite et son cri fut rejoint par le grognement de Cyprien qui se répandait en elle.
Il se dégagea presque aussitôt pour prendre un objet ainsi que la corde qu’il avait déposée sur une chaise. Il s’approcha de Manon et commença à lui attacher les poignets aux barreaux du lit, ainsi que les chevilles aux colonnes de lit. Manon était anxieuse mais se laissait faire. Cyprien lui montra l’objet. "Qu’est-ce que c’est ?" demanda-t-elle. "Oh ! On dirait une grosse verge !"
- On appelle ça un godemiché et il va te donner beaucoup de plaisir lui répondit le valet..
Cyprien s’assit à côté d’elle sur le lit et, avec lenteur, commença à enfoncer l’engin dans sa moiteur. C’est très différent comme sensation que celle donnée par un sexe d’homme, pensa-t-elle. Par contre, l’excitation était aussi grande. Après avoir fait pénétrer le godemiché sur une bonne moitié, Cyprien commença à le faire aller et venir et elle commença à se tordre de plaisir.
- Je n’en peux plus, c’est si bon...
Son corps tendu frémissait. Cyprien retira l’engin lentement. Manon le supplia de le remettre. Il s’exécuta et se leva prestement :
- Voilà. Il va rester planté là toute la nuit et demain matin ma queue prendra sa place. Dors bien ma jolie.
Inutile de préciser que Manon dormit très mal. Attachée elle ne pouvait pas bouger, elle sentait l’objet la remplir entièrement sans pouvoir toutefois la satisfaire ; elle maudissait Cyprien. Le jour arriva. Des servantes vinrent délivrer Manon et elle put se laver. Elle ne pensait plus à la promesse de Cyprien de venir la rejoindre pour la baiser. Le seigneur avait donné l’ordre de laisser Manon se reposer toute la journée. Elle eut donc la possibilité de dormir, puis d’essayer de comprendre les propos du valet qui lui semblaient un peu confus. Comment pouvait-elle être fidèle à son maître en se faisant prendre par d’autres hommes et par contre lui être infidèle si elle avait des pensées grivoises qu’il ignore ?
Le soir arriva bien vite et Manon fut appelée et conduite dans la chambre du seigneur. Il n’était pas seul. Cyprien était là. Le maître la remercia pour sa docilité et lui dit qu’il était temps pour elle de goûter sa verge. Elle demanda au seigneur si elle allait être fessée ; il lui répondit que c’était un peu tôt car elle était encore marquée par la dernière flagellation. Elle se dévêtit, s’allongea en travers du lit, la tête sur le bord (comme le maître le lui avait demandé).
Cyprien introduisit son sexe et commença à se mouvoir en elle. Manon ouvrit la bouche et poussa un gémissement. Aussitôt le maître, d’un geste preste, y fourra son membre raide.
- Tu peux en prendre deux en même temps ma chienne ! Allez, suce Manon ! Goûte ton maître et régale-moi comme nous te régalons.
Le valet la pistonnait à présent sauvagement. Dans la tête de la jeune femme, les sensations se bousculaient. Le sexe du maître devenait de plus en plus gros et dur dans sa bouche. Manon avait l’impression d’étouffer.
Les deux hommes déchargèrent en même temps, ce qui provoqua la jouissance de Manon. Cyprien remit de l’ordre à sa toilette et quitta la pièce. Le maître s’assit dans un fauteuil face à Manon.
- Nous avons à discuter ma chère. Tu as réussi les premières étapes de ton dressage. Veux-tu m’appartenir corps et âme ?
- Oui, mon seigneur et maître. Je le désire ardemment.
- La dernière étape, la plus difficile, t’ouvrira la porte de mon corps. Si tu m’obéis je te ferai mienne, sans intermédiaire. Sache aussi, Cyprien t’en a parlé hier, que tu peux et dois te donner à d’autres hommes selon mon désir ou mon accord mais par contre ton temple secret que mes doigts ont visité n’est qu’à moi. Es-tu d’accord ?
- Oui maître, acquiesça Manon.
-Dis-moi, Manon, y a-t-il un homme ou une femme qui te fasse horreur ?
- Oui, maître. Dans le village on l’appelle le monstre tellement il est laid et sale. Il travaille dans une ferme ; son occupation principale est de nettoyer les étables et la porcherie. Il boîte, son oeil gauche est fermé et son bec de lièvre défigure son visage. J’avoue faire un signe de croix lorsque je l’aperçois ; on dit que la nuit il enfile des truies car aucunefemme ne veut de lui.
- Et bien, Manon, si tu veux être mienne, voilà mon désir : demain après-midi tu vas aller chercher cet homme, l’amener au même endroit où je t’ai vue le cul nu, fessée par l’intendant, et tu vas le sucer. S’il veut davantage, tu dois le laisser faire. J’assisterai caché à votre entrevue.
Manon, médusée, ne savait pas si c’était réel ou si elle rêvait. Il lui était impensable d’accéder au désir de son maître. Mais si elle refusait elle le perdrait. "Une pipe pensa-t-elle, en fermant les yeux et le nez je dois pouvoir y arriver."
- Au fait, Manon, je n’ai pas fini. Je veux que tu suces cet homme mais je veux que tu y prennes du plaisir. Je veux t’entendre râler, te voir baver et mouiller. Aucune tricherie !
Sur ces paroles il se leva, s’approcha de Manon et l’embrassa tendrement.
Par ce baiser ils scellèrent leur accord...